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Voyage au bout de la nuit - Introduction
Chapitre 1: Ça a débuté comme ça
Chapitre 1: Justement la guerre approchait
Chapitre 2: Une fois qu'on y est, on y est bien
Chapitre 2: Serai-je donc le seul lâche sur le terre ?
Chapitre 2 : Nos Allemands accroupis au fin bout de la route
Chapitre 2 : Je m'aperçus en fuyant que je saignais du bras
Chapitre 3 : Tout arrive et ce fut à mon tour
Chapitre 3 : La grande défaite, en tout, c'est oublier
Chapitre 3 : Chaque mètre d'ombre devant nous
Chapitre 4 : Après un repos, on est remonté a cheval
Chapitre 4 : Mais bientôt les nuits, elles auusi, à leur tour, furent traquées
Chapitre 4 : Je n'étais pas très sage pour ma part
Chapitre 4 : Une jeune fille, un châle, un tablier blanc
Chapitre 4 : Mon cheval voulait se coucher lui aussi
Chapitre 4 : Il s'agissait de passer la ligne du chemin de fer d'abord
Chapitre 4 : Pendant qu'il nous parlait ainsi à mi-voix
Chapitre 5 : Pour être bien vus et considérés
Chapitre 5 : Tout marchait parfaitement en somme
Chapitre 5 : En somme, il était salement mauvais, le moral
Chapitre 5 : La nature est une chose effrayante
Chapitre 5 : C'est voila un an qu'ils sont partis déjà !
Chapitre 6 : Ça a fait des histoires
Chapitre 6 : Avec nous autres, il avait échoué là
Chapitre 6 : Elle résolut de me quitter sur-le-champ
Chapitre 6 : L'attendrissement, sur le sort, sur la condition du miteux
Chapitre 7 : Déjà notre paix hargneuse faisait dans la guerre m^mes des semences
Chapitre 7 : Si les gens sont si méchants
Chapitre 7 : Elle apparaissait avec son violon
Chapitre 7 : Les nuits de Billancourt
Chapitre 7 : Me réchauffant donc à l'office
Chapitre 7 : Musyne disparut avec les autres
Chapitre 7 : D'où qu ils provinssent décidément, ils ne pensaient quà cela
Chapitre 7 : À l'abri de chacun de leurs mots et de leur sollicitude
Chapitre 7 : Il avait appris au cours de ses séjours
Chapitre 7 : Dupré donne d'autre part, dans sa termilogie si imagée
Chapitre 7 : J'avais écrit enfin à ma mère
Chapitre 8 : Branledore, mon voisin d'hôpital, le sergent, jouissait, je l'ai raconté
Chapitre 8 : Ma belle protectrice du "Français" revint elle-même bientôt
Chapitre 9 : Sans chiqué, je dois bien convenir que ma tête n'a jamais été très solide
Chapitre 9 : Dans les bordels qu'il fréquentait de temps en temps
Chapitre 9 : Ah! Regarde-les donc, Roger, tous les deux
Chapitre 9 : Comme on pouvait pas rester là
Chapitre 10 : Les huiles ont fini par me laisser tomber
Chapitre 10 : Ainsi, le Portugal passé, tout le monde se mit sur le navire
Chapitre 10 : L'amiral n'avancait guère, il se traînait plutôt
Chapitre 10 : D'après ce que je croyais discerner dans la melvaillance compacte
Chapitre 10 : Je ressentis en entendant ces mots un immense soulagement
Chapitre 10 : J'empoignais deux bras au hasard
Chapitre 10 : Décidement, j'étais un créateur d'euphorie !
Chapitre 11 : Dans cette colonie de la Bambola-Bragamance
Chapitre 11 : J'en appris encore bien d'autres
Chapitre 11 : Et puis il s'arrêtait de parler, il soupirait, grognait
Chapitre 11 : Le tam-tam du village tout proche
Chapitre 11: J'en ai perdu l'année dernière pour 122 kilomètres
Chapitre 11 : Du coup toute l'assemblée éclatait de rigolade
Chapitre 12 : Au service de la Compagnie Portuaire du Petit Togo
Chapitre 12 : Le directeur quelques instants plus tard, s'ouvrit un autre chemin violent
Chapitre 12 : En la paix comme à la guerre
Chapitre 12 : Ils me trouveraient résolu à pourrir
Chapitre 12 : Chaque matin, l'Armée et le Commerce venaient pleurnicher leurs contingents
Chapitre 12 : Comme dans cette désolation s'il avait fallu imaginer des évènements
Chapitre 12 : C'était d'ailleurs une bonne nature, Alcide
Chapitre 12 : Le vieux vit arriver sur lui quatre miliciens
Chapitre 12 : Alcide m'attendait
Chapitre 12 : À part l'exercice et les sessions de justice
Chapitre 12 : Je me mis à le regarder de bien plus près Alcide
Chapitre 13 : On peut s'y prendre de deux façon pour pénétere dans la forêt
Chapitre 13 : Je dus lui sembler tour à fait navré
Chapitre 13 : Avant, quand il me restait encore de la vaseline
Chapitre 13 : Le mobilier qu'il me légua me révéla
Chapitre 13 : Vous n'avez pas du coton pour vos oreilles?
Chapitre 13 : Il a vecu comme ça
Chapitre 13 : Aussitôt que je sentais un peu de mieux poindre
Chapitre 13 : Ma mère n'avait pas que des dictons pour l'honnêteté
Chapitre 14 : En route, les bêtes de la forêt, je les entends
Chapitre 14 : La piste que nous suivions y menait précisément
Chapitre 14 : Couché, je l'étais encore certainement
Chapitre 15 : Pour une surprise, c'en fut une
Chapitre 15 : C'étaient des bons gars au fond
Chapitre 15 : Dans son bureau où je retrouvais mes esprts
Chapitre 15 : Ainsi passèrent des jours et des jours
Chapitre 16 : Comme si j'avais su où j'allais
Chapitre 16 : Une heure, deux heures passèrent
Chapitre 16 : J'ai donc repris la file des passants
Chapitre 16 : Une fois seul, ce fut bien pire
Chapitre 16 : Le mieux était donc de sortir dans Paris
Chapitre 17 : Pour se nourrir à l'économie en Amérique
Chapitre 17 : Ma disette était telle que je n'osais plus fouiller dans mes poches
Chapitre 17 : Des serveuses, genre infirmières, se tanaient derrière les nouilles
Chapitre 18 : Ce fut bien uniquement pour des raisons d'argent
Chapitre 18 : Désarroi d'autant plus sensible que Lola, surprise dans son milieu
Chapitre 18 : Tout dans ces moments vient s'ajouter à votre immense détresse
Chapitre 18 ; En somnelant à ses côtés
Chapitre 18 : Vous a-t-il montré ses bombes?
Chapitre 18 : De nouveau son salon
Chapitre 19 : Ils m'ont parlé les passants
Chapitre 19 : On en devenait machine aussi soi-même
Chapitre 19 : Pendant qu'elles jouissaient les équipes
Chapitre 19 : Je voulais éviter de la vexer
Chapitre 19 : Nous revenions vers la foule
Chapitre 19 : À deux ou trois reprises après ça
Chapitre 20 : C'est pas le tout d'être rentré
Chapitre 20 : Comprimés comme des ordures
Chapitre 20 : Pendant des mois, j'ai emprunté de l'argent
Chapitre 20 : Je la suivis jusqu'à sa loge
Chapitre 21 : Entre la rue Ventru et la place Lénine
Chapitre 21 : Enfin leur pavillon payé, bien possédé et tout
Chapitre 21 : Quand l'idée vint à la belle fille
Chapitre 21 : Elle parlait dru comme elle avait appris
Chapitre 21 : La vieille se remit en colère
Chapitre 22 : Dans l'édicule
Chapitre 22 : Les serviettes entre ses jambes
Chapitre 22 : Je promettais tout ce qu'on voulait
Chapitre 22 : Avec la gueule on se défie des verres plein le nez
Chapitre 22 : Quand ils l'avaient tellement battue
Chapitre 23 : On me retirera difficilement de l'idée
Chapitre 23 : La fille n'éprouvait à vivre à Rancy, qu'une seulle consolation
Chapitre 24 : Malgré tout, j'ai bien fait de rentrer à Rancy
Chapitre 24 : En fait d'odeur de choux de Bruxelles
Chapitre 24 : Dès son arrivée, le chercheur méthodique
Chapitre 24 : Quand j'arrivai devant la porte de la cellule
Chapitre 24 : Vous avez vu mon garçon, confrère?
Chapitre 25 : J'aurais été content de ne plus jamais avoir à retourner à Rancy
Chapitre 25 : Mais pour ce qui concernait Bébert
Chapitre 26 : Autant pas se faire d'illusions
Chapitre 26 : Robinson se mit à nous raconter
Chapitre 26 : Il ne finissait pas son cassis
Chapitre 26 : Mes affaires eurent l'air de vouloir reprendre
Chapitre 26 : Cette expulsion de foetus n'avance pas
Chapitre 26 : Ça le rendait tout sérieux
Chapitre 26 : De tousser ainsi coup sur coup
Chapitre 27 : Et la musique est revenue
Chapitre 27 : Vers les dernières heures de cette même soirée
Chapitre 27 : Il les méprisait Martrodin, les bicots
Chapitre 28 : Je me souviens encore d'un autre soir
Chapitre 28 : Et puis vous savez qu'elle poursuivait à mon adresse
Chapitre 29 : On sait que ces choses là c'est toujours difficile à arranger
Chapitre 29 : Bien des choses s'étaient portant passées par la suite
Chapitre 29 : Je vais me tuer !
Chapitre 29 : La sienne Robinson d'enfance
Chapitre 30 : Les riches n'ont pas besion de tuer eux-mêmes pour bouffer
Chapitre 30 : Quand on n'a pas d'argent
Chapitre 30 : Il avait des dents bien mauvaises
Chapitre 31 : Au cours de cet entretien, ce curé se nomma
Chapitre 31 : Ne connaissant pas le fond ni l'envers de la combinaison dont il parlait
Chapitre 32 : Une fois Robinson quitté Rancy
Chapitre 32 : En arrivant au boulevard de la Liberté
Chapitre 32 : On bavarda donc ensemble
Chapitre 32 : Au dernier moment, par le moyen d'une annonce ambigüe
Chapitre 32 : Tandis que le cinéma, ce nouveau salarié de nos rêves
Chapitre 33 : C'est pas la peine de se débattre, attendre ça suffit
Chapitre 33 : Vers le début du mois, nous passions par une brêve et vrai crise
Chapitre 33 : Sa table disparaissait sous ce fouillis dégoûtant
Chapitre 33 : C'est la manie des jeunes
Chapitre 33 : Dans l'état où elle s'était mise
Chapitre 33 : Enfin tous ces salauds-là, ils étaient devenus des anges
Chapitre 34 : Tania m'a réveillé
Chapitre 34 : De détours en détours, je me trouvais comme reconduit par l'habitude
Chapitre 34 : Je sens plus mes pieds, qu'il geignait
Chapitre 35 : Les jeunes, c'est toujours si pressé
Chapitre 35 : J'etais en train décidément
Chapitre 35 : Faut se dépêcher, faut pas râter sa mort
Chapitre 35 : L'une d'elles refusa avec mille grâces
Chapitre 35 : Au bout d'un petit moment d'affection
Chapitre 36 : À cause de ce petit escalier si mince
Chapitre 36 : En fait de passé, c'est surtout de Molly, moi, que je me souvenais bien
Chapitre 36 : Il pensait même pouvoir taper d'un capital initial, la mète Henrouille
Chapitre 37 : Au moment où j'allais pour prendre mon billet
Chapitre 37 : Je voudrais bien, moi aussi, demeurer dans un bateau
Chapitre 37 : J'expliquai doucement à Robinson
Chapitre 37 : Quand on n'est pas habitué aux bonnes choses
Chapitre 37 : Nous n'allâmes pas très loin
Chapitre 37 : Il fallait tirer une conclusion des propos
Chapitre 38 : On est rentrés tous à Toulouse, le même soir
Chapitre 39 : Parapine, ce qu'il a trouvé d'abors en me renvoyant
Chapitre 39 : Lui, il l'aimait la conversation
Chapitre 39 : Il n'avait jamais été avec Parapine entièrement à son aise
Chapitre 40 : Vigny-sur-Seine se présente entre deux écluses
Chapitre 40 : Tenez, il m'arrive Ferdinand
Chapitre 40 : Depuis plus de vingt ans Baryton n'en finissait jamais de les satisfaire
Chapitre 40 : L'être dont on se sert doit être bas
Chapitre 40 : Stimulé par l'ennui, j'avais fini par lui raconter à Baryton
Chapitre 40 : Mais son père, lui, ne l'entendait pas du tout de cette oreille
Chapitre 40 : Bien qu'il m'ait longuement et décisivement dégoûté
Chapitre 40 : Dès la fin de cette même soirée
Chapitre 40 : Mais cher monsieur Baryton
Chapitre 41 : D'un côté, on ne le regretta pas
Chapitre 41 : Des mois s'écoulèrent encore
Chapitre 41 : Et toi, lui demandai-je, as-tu au moins retrouvé un boulot quelconque ?
Chapitre 41 : Pourquoi alors après que ça n'a pas marché vos amours ?
Chapitre 41 : C'était comme une sorte de conseil
Chapitre 41 : Dis-moi, que je lui repondais
Chapitre 41 : Deux ou trois mois auparavant tout qu'il venait de me raconter
chapitre 41 : Je trouvais Robinson eaucoup moins inquiet
Chapitre 41 : C'est pas que j'aie eu peur d elle
Chapitre 42 : Pour les repas à Vigny, nous avons conservé les habitudes
Chapitre 42 : J'ai mis de l'ordre dans son infirmité
Chapitre 42 : Parapine était tout à fait de mon avis à ce sujet
Chapitre 43 : Mais nous avons eu beau faire
Chapitre 43 : Elle possédait Sophie cette démarche ailée
Chapitre 43 : Tu devrais la revoir Madelon, qu'elle m'a conseillé
Chapitre 44 : On peut dire qu'on en a eu alors de la fête plein les yeux
Chapitre 44 : Robinson, pendant qu'on était dans le Caterpillar
Chapitre 44 : Ils profitaient qu'on ne pouvait pas bouger
Chapitre 44 : Ça les agace donc encore davantage
Chapitre 44 : Comme les voitures et tout le traffic faisaient beaucoup de bruit
Qhapitre 44 : Quand nous arrivâmes au bout de l'avenue de Clichy
Chapitre 44 : Léon, lui, d'entendre ses vérités
Chapitre 44 : Malgré sa fureur ça portait peu à rire
Chapitre 44 : Il a ralenti qu'un peu d'abord
Chapitre 44 : Et je restais, devant Léon, pour compatir
Chapitre 45 : Parapine gardait ses esprits
Chapitre 45 : Plein moi alors que j'en aurais du courage
Chapitre 45 : Mandamour on l'a emmené avec nous et Sophie aussi
℗© Frémeaux & Associés
