Les Récits extraordinaires de Pierre Bellemare

Europe 1 Archives

Pierre Bellemare comme vous ne l’avez jamais entendu ! C’est la promesse de ce nouveau podcast imaginé à partir des archives exceptionnelles du Service Patrimoine Sonore d’Europe 1.

Affaires criminelles, true crime, crimes, enquêtes : Pierre Bellemare est le pionnier des grands conteurs de récits radiophoniques. Dans les années 70, cette voix culte d’Europe 1 a tenu en haleine les auditeurs avec ses histoires extraordinaires. Des histoires vraies de crimes en tout genre, crapuleux, familiaux, inexpliqués nous campent des personnages effrayants, bizarres ou fous. Des phrases à couper le souffle, des silences lourds de suspense, un univers de polar saisissant et puissant.

Avec un son remasterisé et un habillage modernisé, plongez ou replongez dans les grands récits extraordinaires de Pierre Bellemare.

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Épisodes

Le mariage secret
Aujourd'hui
Le mariage secret
Le rôle d’un avocat réside avant tout dans la défense des intérêts de son client. Mais certains coupables sont parfois compliqués à assister… En avril 1911 à Paris, Edmond vit au crochet de sa mère. C’est un jeune homme de bonne famille. Sa mère, veuve, est très riche et, depuis toujours, elle gâte son fils et l'entretien. Quand elle lui avoue son mariage secret avec un banquier hongrois aux difficultés financières, le jeune Edmond ne peut l’accepter. Il a toujours eu un fort intérêt pour l’argent et ce "pauvre Hongrois" va les ruiner, il en est sûr ! Mais sa mère l’a décidé, elle veut faire sa vie avec cet homme qu’elle aime, quoi qu’en pensent ses enfants. Piqué au vif, Edmond retourne au domicile familial et assassine sa mère d’une balle dans la tête. Juridiquement, il s’agit d’un "meurtre avec préméditation". Pour l’avocat d’Edmond, ce dossier est indéfendable. Mais le destin d’un homme est entre ses mains et défendre les pires crimes fait partie du métier. Il se doit alors de trouver des circonstances atténuantes à ce jeune assassin féru d’argent. Pour trouver des éléments, il va falloir chercher loin, et dans le détail… Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.  Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin  Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
📣 Découvrez Au coeur de l'Histoire - Les secrets de la Franc-maçonnerie
Aujourd'hui
📣 Découvrez Au coeur de l'Histoire - Les secrets de la Franc-maçonnerie
Retrouvez l'ensemble des épisodes du podcast Au Cœur de l'Histoire - Des récits pour découvrir et apprendre l'Histoire de Europe 1 iciJoséphine de Beauharnais et la franc-maçonnerie ! Joséphine de Beauharnais fut le grand amour de Napoléon. Ce fut aussi une grande figure de la franc-maçonnerie !À l’occasion de la sortie du roman d’Éric Giacometti et Jacques Ravenne La Clé et la Croix (éditions J.-C. Lattès), qui explore l’influence maçonnique sous l’Empire, Virginie Girod vous plonge dans le secret de la franc-maçonnerie !  La franc-maçonnerie serait née au début du XVIIIe siècle en Angleterre, avant d’arriver en France quelques années plus tard. Plus que secrets, les francs-maçons sont surtout discrets. Tournés vers la connaissance, les loges sont d’abord des groupes de sociabilité et de réflexion, essentiellement masculins. En 1773, une nouvelle obédience apparaît : le Grand Orient, sans doute la plus célèbre aujourd’hui en France. Mais le Grand Orient ne se veut pas mixte. Les femmes initiées sont cantonnées à des loges d’adoption, elles-mêmes rattachées à une loge mère masculine qui supervise leur réunions.  À la même époque, Marie-Josèphe-Rose Tascher de la Pagerie, la future Joséphine, débarque en France depuis sa Martinique natale et épouse Alexandre de Beauharnais. Plusieurs membres de cette famille ambitieuse sont initiés à la franc-maçonnerie. Comme les loges sont majoritairement fréquentées par des aristocrates, elles sont suspectes aux yeux des révolutionnaires. La franc-maçonnerie connaît cependant un regain d’activité sous Napoléon. Son propre frère Joseph Bonaparte, le Prince Joachim Murat étaient initiés, ainsi que Joséphine dès 1805. Des loges sont même fondées en l’honneur du couple impérial ! Mais les loges d’adoption finissent par péricliter, jusqu’à leur interdiction en 1808. Il n’y a alors plus, ou presque plus, de femmes en maçonnerie. Il faut attendre 2010 pour que le Grand Orient s’ouvre officiellement aux femmes ! Thèmes abordés : Révolution française, franc-maçonnerie, Napoléon, Joséphine de Beauharnais   "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio- Auteure et Présentatrice : Virginie Girod - Production : Caroline Garnier- Réalisation : Nicolas Gaspard- Composition de la musique originale : Julien Tharaud - Edition et Diffusion : Nathan Laporte- Coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin     Bibliographie : Pierre Branda, Joséphine de Beauharnais, coll. Tempus, Perrin, 2020.  Ressources en ligne : https://www.cairn.info/les-franc-maconneries-xviiie-xxie-siecle--9782707140876-page-7.htm  https://www.gldf.org/obedience-maconnique/historique-de-la-gldf.html  https://godf.org/qui-sommes-nous/notre-histoire/  https://journals.openedition.org/cedref/1611?lang=en  https://www.napoleon-empire.net/franc-macon.php  https://www.persee.fr/doc/hes_0752-5702_1983_num_2_4_1342
Qui a tué Abraham Lincoln ?
Il y a 1 semaine
Qui a tué Abraham Lincoln ?
En 1865 aux Etats-Unis, cela fait maintenant plusieurs années que le pays se déchire dans une guerre civile entre le nord et le sud à propos de l’esclavagisme. Également à cette époque, à la programmation de nombreux théâtres, il y a John Booth. Un comédien à succès qui suscite l'admiration par son talent et sa beauté. Mais à 28 ans, le jeune homme souffre de laryngite chronique qui le contraint à arrêter la scène. Il se lance alors dans les affaires. Désormais, il est à la tête d’un groupe conspirateur. Son plan ? Organiser l’assassinat du président des états du nord des États-Unis : Abraham Lincoln. L’après-midi du 14 avril 1865, John Booth entre dans le théâtre de Washington. L’acteur est évidemment bien connu des lieux et son passage n’interpelle personne. John Booth se hisse au balcon, suit le corridor et derrière les loges, gagne l’avant-scène présidentielle. Ce soir, le président et sa femme doivent s’y rendre. Le spectacle à commencé et John Booth est dans sa cachette. C’est le début de l’acte 2. L’acteur John Booth s'élance alors et tire à bout portant sur le président, qui s’écroule, une balle dans la nuque. L’acteur saute ensuite sur la scène et sort, comme au théâtre, par les coulisses. Comment ce drame a-t-il pu se produire ? L’officier de garde rapprochée du président, également amant de madame Lincoln n’était pas présent ce jour-ci. Coup monté ou simple coïncidence ? De plus, un barrage a été élevé au niveau du pont "Navy Bridge"... alors qui a bien pu donner le mot de passe au meurtrier John Booth pour qu’il passe ? Le plus incroyable encore, c’est que le meurtre de Lincoln a été annoncé à la presse dès l’après-midi, alors que le drame n’avait pas encore eu lieu… D’ailleurs, où est passé John Booth ? Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare". Cette émission est issue des archives d’Europe 1 et a été enregistrée en 1976. Ce podcast est produit par Europe 1 Studio.  Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin  Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
Tragédie grecque en Angleterre
11-04-2024
Tragédie grecque en Angleterre
Stravros naît à Chypre en 1920 dans une famille de paysans grecs. Il est élevé avec ses frères et sœurs par sa mère, Hélène. Une femme aux yeux et aux cheveux noirs, qui possède tout ce qu’une femme grecque peut avoir de noble, de dur et de dominateur. À l’âge adulte, Stravros décide de partir vivre à Londres. Il y rencontre celle qui sera très vite sa future femme, une jeune et belle Allemande du nom de Greta. Ensemble, le couple a trois enfants et ils forment la famille parfaite. Mais cette romance à l’eau de rose, ne va pas tarder à se transformer en une sordide tragédie grecque… Un jour de juillet 1953, le facteur apporte une lettre provenant de Chypre dans laquelle Hélène, la mère de Stravros, annonce sa venue. Cela fait 17 ans que le jeune père de famille n’a plus revu sa mère. Dans ce petit deux pièces de la banlieue de Londres vivent dorénavant cinq personnes. Les tensions ne tardent pas à se faire sentir entre les deux femmes, d’autant plus qu’elles ne parlent pas la même langue. L’affrontement entre Hélène et Greta devient chaque jour plus violent. Le 28 juillet 1954 au soir, et comme chaque soir, Stravros part travailler. Les enfants sont couchés et les deux femmes se partagent comme à leur habitude le tout petit appartement. Mais cette soirée-là, à travers la fenêtre, les voisins d’en face peuvent apercevoir des flammes dans la cuisine. Par terre, un corps brûle, comme un mannequin de cire, et derrière lui, dans l’embrasure de la porte, un visage de femme admire avec fascination, le corps s’embraser. Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.  Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin  Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
Mensonge entre les lignes
04-04-2024
Mensonge entre les lignes
1943 au Texas. Depuis quelque temps, la presse relaie un fait divers survenu dans un quartier de Dallas. Ryder, un vieil homme modeste, vendeur de cravate, reçoit des lettres d’un certain Julius, un jeune homme de 20 ans issu d'une famille riche et récemment incarcéré pour le meurtre de son père. Étonnement, ces deux hommes que tout oppose, sont amis. Une information qui intrigue les journalistes et fait même l’objet d’un certain engouement dans les médias. Pour Ryder, Julius est innocent et si "le vieux est mort, c'est qu'il devait mourir". Pourtant, lors du procès, les témoignages sont formels. Julius, sujet aux crises d’épilepsie, rentre un soir chez lui ivre et fou de rage selon les témoins de la maison. Lorsqu’elle rapporte les faits lors du procès, la belle-mère déclare avoir vu Julius pousser son père du balcon, juste après leur altercation. Puis le jeune homme se serait évanoui. Or, Julius se souvient avoir perdu connaissance juste après être entré en altercation avec sa belle-mère. Pour lui, il n’a donc pas tué son père. Entre les pages de cette énigme relatée au grand public dans de nombreux papiers, il y a quelques lignes intrigantes. À première vue, ce "filet" journalistique passe inaperçu. Mais cet article de cinq toutes petites lignes pourrait peut-être bien changer toute la donne… Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.  Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin  Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
Le couteau de poche
28-03-2024
Le couteau de poche
Paul est un jeune musicien de 22 ans. Il est encore domicilié chez ses parents à Saint-Omer dans le Pas-de-Calais. Un soir, le jeune homme tire à coup de carabine sur son père. Lorsque les agents de police se rendent sur le lieu du crime, Paul et sa mère sont formels : cet acte était une réponse de légitime défense face à une violente scène de ménage. Dans la main de la victime, un couteau. C’est celui de Paul, le couteau de poche qu’il a reçu à l’occasion de sa première communion. Dans ce logis, le brigadier est intrigué par l’attitude de cette femme et de son fils. De toute sa carrière, il n’a jamais vu de pareille indifférence. L’ambiance est trouble, pesante. Il semble manquer une pièce à l’équation. D’ailleurs, Paul affirme qu’il n’a tiré qu’une seule fois, dans le but  d’arrêter son père dans sa fureur. Pourtant l’enquête démontre que cinq tirs ont été déclenchés. Ce crime était-il un acte de légitime défense ou bien de colère ? Quelques jours plus tard, le brigadier demande à ce que l’on fasse agrandir l’image de la scène de crime car il y a quelque chose d’étrange avec ce couteau de poche… Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.  Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin  Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
Dérapage incontrôlé
21-03-2024
Dérapage incontrôlé
Lucien Borelli est encore très jeune lorsque ses parents se séparent. Très vite, le petit garçon choisit de vivre chez son père, jugeant sa mère beaucoup trop autoritaire et sa vie pas suffisamment trépidante. Dès lors, les journées du petit Lucien sont beaucoup plus gaies et tranquilles grâce à l’indulgence de son père. Mais une nouvelle personne va bientôt chambouler à nouveau la vie du jeune garçon et instaurer de nouvelles règles dans la maison… "Moune" est le surnom de la nouvelle compagne de Monsieur Borelli. Elle vient tout droit de Paris et semble aux yeux de Lucien, aussi rigide que sa mère. Après le baccalauréat, Lucien entreprend des études dans une école technique située à Paris. Il loge ainsi dans l’ancien appartement parisien de "Moune". C’est l’occasion pour le jeune homme, frileux des règlements, d’enfin s’amuser un peu. Mais les sorties, les copains et les soirées, ne ravissent pas sa belle-mère qui ne manque pas de le lui faire comprendre. Alors, quand Lucien se remémore tous ces instants où il a été réprimandé par cette femme qui s’est incrustée dans sa vie, il perd la tête. Au volant d’une 203 noire, avec "Moune" comme passagère, il roule à toute allure dans les virages des routes isolées de la campagne. Puis il la frappe. La voiture freine sur plusieurs mètres avant de s'immobiliser entre deux arbres. Lucien est fou de rage, il frappe encore et encore le corps de "Moune". Le jeune Lucien Borelli a désormais le cadavre de sa belle-mère sur les bras. Dans les films, il a vu à plusieurs reprises les criminels utiliser des bâches avant de jeter le corps dans un cours d’eau. Aussi, dans les films, on se crée un alibi après s’être allumé une cigarette. Mais la fiction pourra-t-elle sauver Lucien de la réalité de ce soir de mars 1954 ? Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.  Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin  Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
Le fantôme d’Interpol
14-03-2024
Le fantôme d’Interpol
Manfred S. et Robert L. sont deux soldats allemands, tout juste libérés d’un camp de prisonniers en septembre 1945. Le premier est un homme élancé au caractère de meneur. L’autre est trapu et obéissant. À ce moment-ci à Berlin, ni femme ni maison n’attendent plus les deux officiers. Tout a été bombardé. Manfred décide alors de loger provisoirement avec son ami chez des prostituées. L’une d’entre elle se prénomme Hildegarde et tombe immédiatement sous le charme de Robert. Manfred pense alors au parti qu’il pourrait tirer de cette situation… Il pousse Robert à l’épouser pour, par la suite, lui dérober ses biens et se débarrasser d’elle. Robert, comme à son habitude, ne contredit pas son acolyte et exécute. L’heure du crime a sonné : Manfred assassine Hildegarde dans une forêt et Robert est, sans vraiment l’avoir voulu, le complice d’un crime. Pour le meurtrier, cet homme qui lui a servi d'appât n’est maintenant plus qu’une charge. Il décide donc de l'abandonner. Il part alors avec l’argent en cavale, dans les quatre coins de l’Europe. Autriche, Italie, France, Espagne : chaque pays dans lequel le fugitif passe, la police ouvre une enquête pour retrouver le meurtrier, en vain. Mais les hommes ont quelques faiblesses… Dans cette fuite, le gangster ne peut s’empêcher de collectionner les femmes. Un péché qui pourrait bien mettre la totalité de ses plans en danger... Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.  Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin  Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
La piste rouge
07-03-2024
La piste rouge
Le jeudi 17 décembre 1931, une Citroën C6 est retrouvée au beau milieu d’un carrefour du bois de Vincennes, encastrée dans un arbre. Le pare-choc est en piteux état. Sur les tapis, les portières et la banquette luisent d’énormes flaques de sang provoquant une odeur funèbre. Mais où sont passées les victimes ? Aucune trace aux abords du véhicule ne laisse penser qu’elles se sont enfuies ou ont été déplacées... Selon les premiers éléments de l’enquête, le véhicule a été dérobé la veille. Puis, on découvre que des vêtements tâchés de sang brûlent sur la route de Poissy, que le strapontin du véhicule accidenté est retrouvé à Magny-en-Vexin et qu’un témoin a vu un automobiliste jeter quelque chose par-dessus le pont de Triel… La scène de crime s’étend donc aux quatre coins de l’Île-de-France. L’enquête se révèle alors être un véritable puzzle : c’est le début de la piste rouge. L’indice qui va pourtant changer la donne est un petit bouton de culotte. Il permet aux enquêteurs de remonter la piste jusqu'à un Américain domicilié boulevard des Capucines à Paris et nommé Richard Wall. Reste à savoir si ce gangster, actuellement introuvable, est victime ou coupable… Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.  Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin  Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
La machination policière
29-02-2024
La machination policière
En 1932 dans le sud de la France, une bande de gangsters dont le chef se nomme Maucuer, a pour accoutumance de piller des trains. Mais cette routine commence à ne plus amuser cet homme chétif qui ne sourit jamais. D’autant plus qu’une nouvelle opportunité bien plus alléchante se présente. Chaque jeudi, une banque dépose de l’argent au bureau de poste du quartier de Saint-Barnabé à Marseille. L’occasion parfaite pour ces bandits qui planifient alors d’aller y dérober les billets. De l’autre côté de la cité phocéenne, dans son commissariat, le chef de Sûreté reçoit une lettre anonyme l’informant qu’un gang prépare un coup au bureau de poste du "quartier maudit". Depuis quelque temps, la police de la ville a mauvaise réputation : elle est jugée incompétente dans cette partie de la commune où les malfaiteurs ont pignon sur rue. Cette information est donc l’occasion parfaite pour la police d’enfin redorer son image. Leur plan est digne d’une véritable pièce de théâtre dont le dénouement de l'histoire sera de coincer, sur le fait, les brigands. Comment ces policiers, quelque peu crédules, vont-ils faire face à des brigands armés ? Et Maucuer, le chef de bande, pourra-t-il réellement compter sur ses hommes ? Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.   Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin  Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
Il est énervant Émile 
22-02-2024
Il est énervant Émile
Émile Python est un homme sage, consciencieux voire un peu trop zélé selon son entourage... Enfant, c’est lui qui révèle les bêtises de ses camarades à l’instituteur. Lorsqu’il est au régiment, c’est encore lui qui dénonce les incidents à l’adjudant. Qu’il est énervant Émile... À 25 ans, cet homme à la silhouette impeccable et au teint rouge, se marie. Une femme, des enfants, un emploi : en théorie, tout va pour le mieux pour Emile Python. Mais au quotidien, il ne peut s’empêcher d’éplucher les comptes, vérifier les quittances de gaz et l’honnêteté de chacun… Qu’il est énervant Émile ! En 1926, alors qu’il a 40 ans, Émile Python réside avec sa famille au rez-de-chaussée d’un petit appartement parisien dont il paie scrupuleusement le loyer le premier de chaque mois. Mais il souhaite déménager au quatrième, pour cette fois-ci, disposer d’une habitation non meublée. À sa grande surprise, le propriétaire de l’immeuble en décide autrement : cet appartement, au quatrième, sera loué meublé, et avec les meubles de celui du rez-de-chaussée ! Une combine qui déplaît, évidemment, à Émile Python. Il se plaint auprès du Procureur qui mandate un expert pour savoir si le contrat a été falsifié. Non, affirme l’expert, ce qui provoque alors la colère du père de famille. Emile Python se met à l’espionner et compte bien se venger. Pour la première fois, il va commettre l’irréparable… pour se faire justice lui-même. Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.  Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin  Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
Bertillon, l’homme qui a révolutionné la police scientifique 
15-02-2024
Bertillon, l’homme qui a révolutionné la police scientifique
Le 16 octobre 1902, au 157 rue du Faubourg Saint-Honoré à Paris, a lieu le crime le plus important de toute l’histoire policière. Pourquoi ? Tout simplement parce que l’assassinat de Joseph R. le domestique d’un dentiste, va permettre de révolutionner, à jamais, les méthodes policières du monde entier. Pourtant, rien n’était joué d’avance !  Alphonse Bertillon, l’officier de l’époque, est un homme triste, froid et sarcastique. Renvoyé plusieurs fois des meilleures écoles françaises et après quelques échecs professionnels, c’est finalement grâce à son père qu’il obtient le poste d’auxiliaire de la préfecture. À cette époque, la police n’a d’autre moyen que d’identifier les individus par leurs noms. Alphonse Bertillon décide alors de mettre un place un "classement anthropométrique", qu’il nomme "le bertillonnage". Une méthode qui permet de relever les mensurations des individus interpellés.  Depuis quelques années pourtant, un nouveau système d’identification semble faire de l’ombre au "bertillonnage", celle des empreintes digitales. Lorsque Alphonse Bertillon se rend sur les lieux du crime, un détail lui saute aux yeux : des traces de doigts très apparentes sont présentes sur la vitre du battant du meuble de la pièce. Peut-être pourrait-il reproduire ces empreintes, les comparer avec celle qui figure sur ses fiches et retrouver le coupable parmi les récidivistes ? Mais parvenir à réaliser ce miracle, serait pour Alphonse Bertillon, reconnaître la supériorité de cette méthode à la sienne… Comment cet homme, décrit comme terriblement rancunier, va-t-il dénouer cette affaire ? Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio. Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
Le Puits d’Enfer
08-02-2024
Le Puits d’Enfer
[ARCHIVE EUROPE 1 - Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare] Le 8 février 1949, une tempête se lève sur la plage des Sables d’Olonne. L’eau bouillonne au milieu des deux failles rocheuses qui forment "le Puits d’Enfer". Dans cet immense entonnoir naturel, les vagues se jettent violemment contre la pierre, puis se retirent. C’est exactement à cet instant que les enfants d’une colonie de vacances qui passaient par là, aperçoivent une malle en osier puis, avec stupeur, un corps sans vie, au fond de l’ardent précipice. La victime est Robert Thelier, un Parisien d’une soixantaine d’années. Ses pieds et ses mains sont liés et sa bouche est bâillonnée : à l’évidence, c’est un crime. Les enquêteurs relèvent alors des traces de pneus d’une voiture au bout du chemin ainsi que les traces d’une malle. Le corps a sans doute été traîné à l’intérieur de la malle, avant d’être jeté dans ce "Puits d’Enfer". Quelques jours plus tard, un chauffeur se rend au commissariat. C’est lui, qui a transporté la malle jusqu’au Sables d’Olonne et qui l’a abandonnée dans l’eau. Pourtant, il n’a commis aucun crime. Transporter des cargaisons, c’est son métier ! Il se trouve que sa cliente n’est autre que la gouvernante de la victime… Elle se prénomme Simone. Au service de Monsieur Thelier depuis quelques mois, elle arrive d’Espagne. Récemment, elle a publié une annonce mystérieuse dans un journal, afin d’embaucher quelqu'un pour effectuer des "missions dangereuses"... De quelles missions s’agit-il ? Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.  Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
Une vendetta familiale
30-01-2024
Une vendetta familiale
[ARCHIVE EUROPE 1 - Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare] Une nuit, Vicenza et Pino déambulent dans les rues de la commune de Poisat, près de Grenoble. Ce 19 mars 1958, l’un d’entre eux va mourir. Pourtant, il y a encore quelques mois, le couple s’aimait passionnément... Leur histoire commence dans leur village de Sicile à la fin des années 1930. Enfants, les deux amis issus de villages voisins, se connaissent bien. Puis, Pino rejoint sa sœur en France, à Grenoble, pour y travailler. C’est l’occasion pour lui d’échapper à la pauvreté. Mais lorsqu’il retourne au village, il recroise la belle Vicenza. La jeune fille a bien changé et très vite, les deux Siciliens tombent amoureux. Le père de Vicenza promet alors une dot à la belle-famille pour sceller cette union. En réalité, il est criblé de dettes et ne peut honorer sa promesse. Le mariage est alors rompu. Vincenza est désespérée. D'autant que Pino, entre-temps, est reparti travailler en France. Elle décide alors de le rejoindre mais son amoureux a bien changé : il est devenu sensible au charme des Françaises... Très vite, la jeune femme tombe enceinte et Pino qui s’était mis à rêver d’une autre vie, est coincé. Quand Vicenza comprend qu’il ne l’épousera pas et qu’elle est déshonorée, elle ne voit d’autre solution que de l’éliminer. De son côté, Pino ne peut plus supporter les conflits avec Vicenza. Cette nuit du 19 mars 1958, la rage monte en lui, il veut en finir avec elle. Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.    Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
La machine qui rend fou
30-01-2024
La machine qui rend fou
[ARCHIVE EUROPE 1 - Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare] Au pied de l’immeuble d’une capitale européenne, un corps, écrasé par le choc de la chute des dix étages. C’est le cadavre de Paul, un père de famille endetté. Près de lui, le rideau de son salon, arraché dans sa chute. Les enquêteurs s’empressent de monter à l’appartement. Dans le séjour, sa femme, Jocelyne, et leur fils sont également décédés tous les deux. Le responsable de ce carnage est un papier, retrouvé dans le placard d'entrée. Quelques années plus tôt, le couple s'était rencontré à Paris. Faute de moyens, ils s'installent dans une petite chambre de bonne d'à peine huit mètres carrés.. La famille s'agrandit. Avec leur bébé, Paul et Jocelyne obtiennent un petit appartement dans un HLM mais Jocelyne tombe souvent malade en raison de l'humidité. Son emploi ne lui permet guère de payer le loyer et son mari se met à jouer aux jeux d'argent. Mais un jour, Paul décroche le gros lot ! Jocelyne n’est pourtant pas plus heureuse, son mari se met à voyager énormément jusqu’au jour où la police l’arrête : l’homme a escroqué la société dans laquelle il travaille. Tout cet argent pendant que Jocelyne, de son côté, mène un train de vie modeste. Mais où est passée cette somme astronomique ? A cet instant, la "machine qui rend fou" est lancée. Jocelyne, croulant sous les dettes, doit rembourser le vol de son mari, chaque jour un peu plus encore ! Et le même matin du drame, la "machine qui rend fou" et qui ne s’arrête jamais, frappe encore avec ce papier que reçoit Jocelyne. Quelle est cette machine qui finit par broyer toute une famille ? Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio. Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
Le poison de l’amour
30-01-2024
Le poison de l’amour
[ARCHIVE EUROPE 1 - Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare] Au milieu des années 1950, la femme de Kenneth Barlow, un brillant infirmier, est retrouvée morte dans leur appartement du quartier de Bradford, en Angleterre. Selon les déclarations de Monsieur Barlow, sa femme, malade, se serait levée en pleine nuit pour prendre un bain avant de décéder d’un malaise dans la baignoire. Pourtant, cette mort ne paraît pas accidentelle aux yeux des enquêteurs. Sur la table de nuit, des seringues. Kenneth Barlow ne le cache pas, il s'injecte régulièrement de la pénicilline et ses dires sont confirmés par les analyses. Qui a alors tué Madame Barlow ? Son mari le proclame haut et fort : il n’a pas d’alibi ! Le comportement de cet homme tout juste veuf interpelle. D’autant plus que sa précédente femme est également décédée sans raison apparente l’année précédente… Mais alors pourquoi les analyses sur le corps de la défunte sont négatives ? À l'hôpital, les collègues infirmiers de Kenneth Barlow sont formels : l’homme détient la recette du crime parfait. Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio. Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
Un crime dans l’ombre d’Oedipe
30-01-2024
Un crime dans l’ombre d’Oedipe
[ARCHIVE EUROPE 1 - Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare] Dans une chambre d'hôtel d’une petite ville de Provence, deux corps gisent sur le sol. Adèle est gravement blessée à la tête et près d’elle, son petit ami, Frédéric, sain et sauf, le revolver à la main. Frédéric est un jeune homme au profil complexe. Sa mère meurt alors qu’il n’est qu’un enfant. Jamais il ne connaîtra l’amour et la tendresse maternelle. C’est lorsqu’il a vingt ans que son père se marie à nouveau, avec une très jeune femme cette fois, Anne. Anne a le même âge que Frédéric et très vite, le jeune homme ressent l’amour dont il a toujours rêvé. A travers elle, c’est sa mère que le jeune homme aime. Durant un an, Frédéric passe toutes ses journées au chevet d’Anne, malade de la tuberculose. Cette présence douce et féminine l’envoûte tellement que son père ne tarde pas à freiner cette relation, bien qu’elle soit entièrement platonique. Trois mois plus tard, la jeune belle-mère décède. Frédéric sombre dans le désespoir jusqu’au jour où il rencontre Adèle. C’est le coup de foudre. Leur liaison dure trois ans. Mais leur relation ne tarde pas à prendre un tournant tragique. Pourquoi Frédéric se sent-il si coupable d’avoir une relation avec cette femme ? Comment le couple s’est-il retrouvé en sang dans cet hôtel ? Il est vrai qu’Adèle ressemble étrangement trait pour trait à sa belle-mère disparue, Anne… Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.  Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
Femme martyre 
30-01-2024
Femme martyre
[ARCHIVE EUROPE 1 - Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare] Dans la nuit du 1er au 2 mai 1885, les quatre enfants de Jeanne Lombardi sont retrouvés égorgés dans leur chambre de leur appartement de Genève. Un seul est encore en vie… Sur les petits lits, des bouquets de lilas, disposés soigneusement.  Jeanne est une femme qui n’a que très rarement connu l’amour. Enfant, sa mère meurt et son père, alcoolique, s’occupe très peu d’elle. En 1876, elle fait la rencontre de Joseph Lombardi. C’est le coup de foudre immédiat ! Pour la première fois de sa vie, Jeanne Lombardi est heureuse. Ensemble, ils vivent une magique lune de miel, ils ont des projets communs et rachètent même le magasin des parents Lombardi. Mais très vite, les conflits éclatent et l’homme devient violent. Enceinte, Jeanne Lombardi subit les coups réguliers de son mari et l’humiliation constante de sa belle-mère. De cette union naît quatre enfants, qui n’échappent pas aux frappes incessantes de leur père. Plus le temps passe et plus les excès de violence se font réguliers. Jeanne Lombardi va de plus en plus mal, elle souffre d'atroces migraines, d’angoisse, et tombe alors dans un profond chagrin. Pour Joseph Lombardi, sa femme est folle, elle doit se faire interner !  Un soir, elle songe à en finir avec ce cauchemar mais elle ne peut pas laisser ses quatre enfants à ce tortionnaire… Alors, la mère de famille élabore un plan : éliminer ses enfants avant de se suicider. Pourtant, Jeanne Lombardi n’est pas morte lorsqu’elle est transportée à l'hôpital. La mère de famille a-t-elle commis ces crimes en pleine possession de ses moyens ? Était-elle réellement folle, comme le prétendait son mari ? Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.    Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
Une affaire cousue de fil blanc
30-01-2024
Une affaire cousue de fil blanc
[ARCHIVE EUROPE 1 - Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare] Le 9 septembre 1949, le vol 108 de la Compagnie aérienne "Canadian Pacific" explose en plein vol. Aucun passager ne ressort vivant de cette terrible tragédie. À bord, parmi les 23 passagers, la femme d’Albert Guay. Monsieur Guay est un homme grand et mince à l’allure timide et il est évidemment dévasté lorsque les enquêteurs lui annoncent le décès de son épouse. Pourtant, tout semble accabler ce père de famille. D’abord, ce dernier a souscrit une assurance, à son profit, sur la vie de sa femme quelques jours plus tôt. De plus, les témoignages l’accablent : l'hôtesse se souvient très bien de cet homme qui avait fortement incité son épouse à monter à bord de cet avion. Est-ce une coïncidence ? Quelques instants avant l’embarquement, une femme, Marguerite Pitre, dépose un colis dans les soutes de l’avion. C’est un carton lourd et fragile. L’expéditeur s'appelle Monsieur Bouchon et le destinataire se prénomme Alfred Plouf. Des noms bien trop grotesques pour avoir été inventés ! Alors les enquêteurs recherchent sérieusement ces deux hommes. C’est alors qu'à nouveau, un autre témoignage, rapporte que Monsieur Guay a récemment recherché des informations sur des dynamites… La police est perplexe. Si cet homme avait eu l’intention de piéger l’avion, il aurait forcément été plus discret. S’il avait fait livrer une bombe à bord, il n’aurait pas utilisé des noms aussi marquants ! Si c’était réellement lui le meurtrier, cette affaire ne serait-elle pas un peu trop cousue de fil blanc ? Les forces de l’ordre cherchent alors un autre coupable. Mais Albert Guay avait une maîtresse, avec laquelle il aurait bien aimé vivre… Tout cela est bien trop évident ! Il y a certainement une autre explication. Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.    Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare
Sous emprise 
30-01-2024
Sous emprise
[ARCHIVE EUROPE 1 - Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare] À Caravaggio, petit bourg de la région de Milan, se trouve la grande bâtisse de Vittorio M.  Dans son château vit sa nièce, la très belle Rita. C’est la fille de son frère, disparu en Afrique du Nord pendant la guerre. On dit que la mère de Rita, une jeune Turque, l'a laissée au soin de cet oncle avant de retourner vivre dans son pays. Mais alors que Rita n’a que seize ans, elle décide de fuir le domicile de Vittorio dans l’intention de vivre en France avec un jeune homme. En février 1952, le couple est arrêté à la frontière en possession de drogue. Bien que le tribunal juge Rita "irresponsable", elle est conduite dans une maison de rééducation pour jeunes filles où elle passe deux ans avec un éducateur, Enzo. C’est ainsi que la jeune Rita se confie sur sa vie. Elle évoque la protection étouffante de Vittorio, les gestes déplacés de cet oncle envers sa mère, puis la disparition soudaine de sa maman. Au terme de ces deux années en maison de rééducation, Rita doit rentrer au domicile de son tuteur légal, Vittorio M.  Mais après quelque temps, les soupçons commencent à naître chez son éducateur : pourquoi Rita ne répond-t-elle plus à ses lettres ? Il décide alors de se rendre à Caravaggio mais Rita a disparu. Dans sa chambre, il ne reste qu’un tas de robes exposées comme dans un musée. Près d’une décharge, un corps est retrouvé. C’est celui de la mère de Rita. Vittorio est-il responsable de ce meurtre ? Qu’a-t-il fait de la jeune fille ? Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.   Crédits : Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud Production : Sébastien Guyot Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus Rédaction et diffusion : Lisa Soster Promotion et distribution : Marie Corpet Création du visuel : Sidonie Mangin Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare