La Mission Odyssébus

International Impact

International Impact vous embarque dans un voyage solidaire, éducatif et pédagogique durant un an dans un bus à impériale

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Podcast 1 : La genèse de la Mission Odyssébus
23-10-2021
Podcast 1 : La genèse de la Mission Odyssébus
Découvrez le podcast co-produit par l’ONG International Impact et la Webradio Allo la planète : Choisissez votre plateforme de podcast préférée et Abonnez-vous à la Mission Odyssébus : – sur Apple Podcast : https://podcasts.apple.com/us/podcast/la-mission-odyss%C3%A9bus/id1600010854 – sur Google Podcast : https://podcasts.google.com/feed/aHR0cHM6Ly9mZWVkcy5wb2RjYXN0aWNzLmNvbS9wb2RjYXN0aWNzL3BvZGNhc3RzL3Jzcy80NDg4XzRhZDI1M2IxMTEwYmRlZTViYmM5Nzc1YjVkYTU5NWI1LnJzcw – sur Amazon Music : https://music.amazon.fr/podcasts/55343d02-ecf6-4a20-81c1-4297281d800f/la-mission-odyss%C3%A9bus – sur Deezer : https://www.deezer.com/fr/show/3711337 – Sur Spotify : https://open.spotify.com/show/4MbhiBfSjJqS595rTZEmhN – sur Stitcher : https://www.stitcher.com/podcast/la-mission-odyssebus – sur Tuneln : https://tunein.com/podcasts/Education-Podcasts/Podcasts-Mission-Odyssebus—Odyssebus-p1675730/     Dans ce premier épisode, Astrid et Jean-Christophe Crespel expliquent la genèse du projet Odyssébus. Pourquoi l’avoir monté ? Qui a eu l’idée et quand ? Découvrez les réponses dans ce premier épisode. Retrouvez ce podcast sur le site d’Allo La Planète, sur le site d’Odyssébus.   Le Web Radio « Allô la Planète » et L’O.N.G. « International impact » vous présentent la Mission Odyssébus. Mais qu’est-ce que c’est ? De quoi s’agit-il ? C’est quoi donc ? Pardon ? Je n’ai pas compris. Dis, tu nous expliques ? Odyssébus, c’est une mission familiale dans un bus à impériale. Durant 14 mois, découvrez ses 3 volets : Solidaire, Écoresponsable et pédagogique. Retrouvez-nous sur « Allo la Planète », tous les mardis 8 :00, mercredi midi et samedi 18 :00. Premier épisode : La Genèse du projet. JC : Bonjour Astrid Astrid : Salut JC, bonjour à tous. JC : Alors dans ce premier épisode, on va décrire la genèse du projet. Est-ce que tu te souviens comment l’idée de ce projet est née ? Astrid : Oui, oui, je m’en souviens bien. Il y a 20 ans, on s’est rencontrés en Asie, à Bangkok. J’étais volontaire dans une ONG et toi, tu réalisais déjà un tour du monde humanitaire avec un ami. Et quand on a décidé de passer notre vie ensemble et de se marier, on voulait déjà repartir à l’autre bout de la planète. Notre rêve était de faire le tour de la Méditerranée en van Volkswagen. JC : Ah oui, à l’époque on n’avait pas encore nos enfants. Et puis on en a eu 1, puis 2, puis 3, puis 4 et enfin 5. Alors à 7 : impossible de partir dans un véhicule si petit. Astrid : Oui et puis la situation géopolitique ne permettait plus de faire ce tour. Les drames en Syrie, la situation chaotique en Libye. JC : Oui, il fallait qu’on trouve une autre destination. Astrid : Et puis, les enfants ont grandi, chacun avec des besoins spécifiques. Il fallait nous faire aider par des orthophonistes, des ergothérapeutes, des AVS, des psycho-motriciens. C‘est assez incompatible avec la mobilité. JC : Oui, on a repoussé l’idée, mais on gardait tout de même ça au fond de nos têtes. Astrid : Il y avait aussi le fait que j’ai créé mon entreprise de chapeaux et de bijoux et que j’ouvrais une boutique de créateurs dans la ville où on habite à Herblay-Sur-Seine. JC : Oui et moi j’avais créé l’ONG International Impact qui succédait à ce tour du monde solidaire. J’avais été directeur dans des grandes ONG puis j’avais décidé de créer une ONG pour mieux gérer les impacts sociaux, économiques et environnementaux de nombreuses petites ONG. Donc j’avais décidé de créer une ONG support qui aller les autres ONG justement à se développer. Astrid : Et puis, un jour, je regardais la télévision et j’ai vu un reportage sur une famille qui était partie en autocar. Le projet s’appelait My Tiny School (https://www.mytinyschool.com/) et je trouvais l’idée super chouette et cela m’a donné envie de repartir dans un projet familial. JC : Alors entre-temps on vivait notre propre aventure, en marchant tous les étés et en traversant la France à pied. Donc on a appelé notre projet « 7 en marchant » avec le chiffre 7 pour symboliser les 7 membres de la famille. On s’était donc tous habitués à marcher, à bivouaquer, à vivre de manière assez spartiate, assez simple finalement. Astrid : Oui alors dans un bus, c’était vraiment le confort assuré. JC : Toi, tu as eu l’idée du car et moi, je me souviens que j’ai eu l’idée du fait qu’il ait deux étages. On avait le choix : soit un car à un étage, mais du coup, il y avait de grandes soutes. Donc c’était pratique pour mettre plein de choses, soit un car à deux étages. Donc là, il y avait moins de soutes ou quasiment plus de soutes, mais on avait plus de places pour nous. Et déjà nos ainés avaient 16 ans et 14 ans et ils avaient besoin de leur espace propre, de leur intimité. Donc on a opté pour un bus à impériale. Même si on savait déjà qu’il serait forcément plus haut et donc que ce ne serait pas toujours facile pour la mobilité. Astrid : Oui c’est vrai. Et puis, ce qui était important pour nous, c’était que ce projet ait du sens. Et de mettre l’essentiel sur la rencontre et la solidarité. Donc on a donné une dimension sociale à ce projet. JC : Oui la dimension sociale qui était aussi celle dans l’ONG. J’avais fondé International Impact. Il se trouve qu’on avait déjà développé plein de partenariats avec de nombreuses organisations. De nombreuses associations. Notamment en Europe et cela s’était fortement développé pendant cette période liée à la Covid-19. On avait moins fait de hors Europe mais du coup, on avait développé pas mal de partenariats. Il était temps d’aller voir certains de nos partenaires. Et puis peut-être sur place aller rencontrer d’autres partenaires pour leur proposer d’accueillir des volontaires français, pourquoi pas des Services Civiques. Astrid : Voilà et comme on est toujours plein d’idées, on a voulu donner d’autres dimensions à ce projet et notamment la dimension pédagogique. Parce que on était amenés à faire l’école aux enfants et on avait envie de partager cela avec d’autres écoles, d’autres enfants de France et d’ailleurs. Donc l’idée de partager cela sur les réseaux sociaux, nous paraissait très important. JC : Oui cette partie pédagogique a été essentielle et on a découvert, du coup, que de nombreux voyageurs avaient un peu les mêmes questionnements que nous. Est-ce que l’école est adaptée ou est-ce qu’elle ne l’est pas ? Est-ce que finalement on peut apprendre différemment ? On a découvert ce que l’on appelle le World-Schooling, l’apprentissage par le biais du voyage. On a découvert le un-schooling, qui met vraiment l’enfant et ses volontés d’apprentissage au cœur de son processus d’apprentissage justement. Et puis, il y avait aussi toute la dimension écoresponsable qui devenait un peu obligatoire. Astrid : Oui c’est le bus qui nous a donné cette 3eme dimension, puisqu’il est vraiment très spécifique. Avec ses trente mètres carrés de panneaux solaires, et puis tout un système de gestion et de purification de l’eau. Il est entièrement autonome en énergie, en électricité et en eau. Et cela nous a amené l’envie de se mettre vraiment à l’écologie, à un mode de vie plus écologique que ce que l’on vivait à la maison. Et donc de se mettre d’avantage au zéro-déchets. Oui, tout ce qui est plus écologique. JC : Oui, puis à l’origine, je pense qu’on est une famille finalement assez classique où on n’avait pas forcément, j’allais dire tout le temps, une démarche spécifique liée à l’écologie mais on se posait des questions et c’est un peu ce qu’on gère dans ce projet. C’est comment vit-on notre lien avec l’eau, avec l’électricité, avec internet ? On est connectés en permanence. Si on se déconnecte de tout cela, qu’est-ce que cela nous apprend sur notre mode de fonctionnement ? Je pense que c’est au fur et à mesure de ces émissions qu’on va pouvoir dire ce que l’on a découvert et puis aussi poser des questions aux auditeurs, aux internautes. Voilà, aux personnes qui suivent le projet. Parce que chacun peut aussi apporter sa petite pierre à l’édifice, bien évidemment. Astrid : Voilà donc on est partis sur cette idée folle et aujourd’hui on le réalise. JC : Tout à fait. Et bien merci Astrid pour cet épisode. On vous retrouve la semaine prochaine pour parler de l’ONG International Impact. Un peu plus la découvrir et notamment découvrir son programme des voyageurs solidaires parce que ce n’est pas la première aventure qui est soutenue par l’ONG. Voilà merci et à la semaine prochaine. Astrid : Bonne semaine à tous ! Cette émission vous a plu ? Retrouvez nos aventures sur le site www.odyssebus.com mais aussi sur facebook, sur Instagram, sur Tik Tok, ou sur le Youtube Odyssébus. Et bien sûr toutes les semaines sur Allo la Planète, les mardis 8 :00, mercredi midi et samedi 18 :00. https://www.odyssebus.com/wp-content/uploads/2022/05/1er-épisode-La-Genèse-du-projet-avec-fondu-de-fin-03102021-16.wavNous contacter : odyssebus@international-impact.com
Podcast 2 : International Impact et son programme des voyageurs solidaires
30-10-2021
Podcast 2 : International Impact et son programme des voyageurs solidaires
Découvrez le podcast co-produit par l’ONG International Impact et la Webradio Allo la planète : Choisissez votre plateforme de podcast préférée et Abonnez-vous à la Mission Odyssébus : – sur Apple Podcast : https://podcasts.apple.com/us/podcast/la-mission-odyss%C3%A9bus/id1600010854 – sur Google Podcast : https://podcasts.google.com/feed/aHR0cHM6Ly9mZWVkcy5wb2RjYXN0aWNzLmNvbS9wb2RjYXN0aWNzL3BvZGNhc3RzL3Jzcy80NDg4XzRhZDI1M2IxMTEwYmRlZTViYmM5Nzc1YjVkYTU5NWI1LnJzcw – sur Amazon Music : https://music.amazon.fr/podcasts/55343d02-ecf6-4a20-81c1-4297281d800f/la-mission-odyss%C3%A9bus – sur Deezer : https://www.deezer.com/fr/show/3711337 – Sur Spotify : https://open.spotify.com/show/4MbhiBfSjJqS595rTZEmhN – sur Stitcher : https://www.stitcher.com/podcast/la-mission-odyssebus – sur Tuneln : https://tunein.com/podcasts/Education-Podcasts/Podcasts-Mission-Odyssebus—Odyssebus-p1675730/ La Web Radio « Allô la Planète » et L’O.N.G. « International impact » vous présentent la Mission Odyssébus. Mais qu’est-ce que c’est ? De quoi s’agit-il ? C’est quoi donc ? Pardon ? Je n’ai pas compris. Dis, tu nous expliques ? Odyssébus, c’est une mission familiale dans un bus à impériale. Durant 14 mois, découvrez ses 3 volets : Solidaire, Écoresponsable et pédagogique. Retrouvez-nous sur « Allo la Planète », tous les mardis 8 :00, mercredi midi et samedi 18 :00.   Deuxième épisode : L’ONG International Impact et son programme des Voyageurs Solidaires.   JC : Bonjour Astrid   Astrid : Salut JC, bonjour à tous.   JC : Alors je le rappelle le premier épisode portait sur la genèse du projet Odyssébus. On va évoquer dans ce deuxième épisode l’ONG International Impact et son programme des voyageurs solidaires.   Pour cela, retournons dans le passé. Nous sommes en 2001. Que faisais-tu en 2001 ?   Astrid : J’étais partie comme volontaire pendant un an en Asie du Sud-Est. Pour Enfants du Mékong, j’étais en charge d’un pays que j’ai vraiment beaucoup aimé : le Laos.   JC : D’accord et en qui consistait ta mission ?   Astrid : Je m’occupais des projets éducatifs. Certains enfants laotiens sont aidés pour suivre des études plutôt que de travailler dans des champs. Par un système de parrainage, nous aidions les jeunes à aller à l’école.   JC : Super projet. Et qui as-tu rencontré durant ta mission ?   Astrid : Un jour, deux garçons sont venus à la maison des volontaires. C’était ton ami Auray et toi.   JC : Oui avec Auray, nous avions organisé un tour du monde humanitaire. L’idée c’était d’aller voir des ONG éducatives en Asie et en Amérique Latine et de les mettre en lumière via internet et d’autres médias : la radio, les magazines, la télé. C’est une mission qui nous a amenés dans 18 pays pendant presque 2 ans.   Astrid : Et qu’as-tu découvert ?   JC : J’ai découvert que de nombreuses petites ONG font des choses extraordinaires. Mais j’ai aussi découvert qu’elles ont besoin de support, de soutiens. D’ailleurs un peu comme l’ONG où tu étais volontaire.   Astrid : C’était donc la naissance de l’ONG International Impact.   JC : Exactement. C’est une ONG assez spéciale. Certaines ONG agissent directement sur le terrain, d’ailleurs la plupart. Nous on a décidé d’aider ceux qui aident les autres. Après avoir vu des dizaines d’ONG comme celle dans laquelle tu étais investie, nous avons fait le constat que des acteurs solidaires, les ONG mais aussi les écoles, les entreprises, les fondations, etc., elles ont besoin de support. Surtout sur 3 aspects : les ressources humaines, les financements et la formation. C’est donc un peu une ONG support qui avait besoin d’être créée.   Astrid : C’est ainsi que tu as créé une équipe autour de ces projets.   JC : Oui et j’ai ainsi proposé la, présidence à Hélène Blitte, ancienne volontaire et docteure en Archéologie. Je lui ai d’ailleurs posé quelques questions. La première c’était : « Hélène, tu as accepté la présidence de l’ONG International Impact. Peux-tu nous dire ce qui te motive à t’engager ainsi dans cette ONG ? »   Hélène Blitte : Cela fait maintenant presque 10 ans que je me suis engagée activement dans la Solidarité Internationale, et donc j’ai rejoins International Impact en 2017 lorsque tu m’as proposé, Jean-Christophe, d’intégrer le Conseil d’Administration. J’ai pris la présidence il y a un an et demi maintenant. En fait ce que j’ai beaucoup aimé dans International Impact, c’est cette idée d’apporter une expertise pour aider, soutenir différents types d’associations, d’institutions ou d’ONG. Je suis en effet persuadés que l’impact des acteurs sur le terrain est bien plus grand et efficace que celui des grands groupes, car elle connaissent vraiment les problématiques locales et donc aider ces structures à améliorer et pérenniser leurs impacts positifs est vraiment quelque chose de très motivant.   JC : Est-ce que tu pourrais nous décrire les actions de l’ONG ?   Hélène Blitte : International Impact, c’est une ONG support c’est à dire que nous venons en appui d’autres ONG et institutions pour optimiser leurs impacts sociaux, économiques et environnementaux. Notre action se développe à l’International, en France, en Europe mais aussi en Afrique en Asie et en Amérique Latine. Notre activité principale consiste en l’envoi de volontaires de Service Civique puisque nous sommes agréés par l’Agence du Service Civique. C’est à dire que nous apportons une aide en ressources humaines à ces petites associations pour qu’elles puissent développer leurs activités sur place. Nous avons d’autres volets d’actions comme par exemple le soutien de programmes tels que le programme Ecuasol, qui est un programme d’aide à l’enfance défavorisée en Équateur. A cela s’ajoute les appuis financiers ponctuels pour aider des petites ONG à financer des projets de grande envergure, comme au Cameroun par exemple où nous avons participé à la réalisation d’une ferme piscicole ou au Guatemala pour la construction d’ateliers pour la formation de boulangers – pâtissiers. Enfin il y a la partie formation et conseils, du conseil en stratégie de développement des ONG et formation puisque, Jean-Christophe, tu formes et tu prépares au départ les futurs ingénieurs agronomes de l’école de Purpan.   JC : OK. Merci Hélène pour cette présentation. Et puis il y a un programme aussi des Voyageurs Solidaires. C’était assez naturel pour nous d’avoir ce programme parce que, nous ne l’oublions pas, International Impact est né du projet : « Tour du Monde Solidaire », mais pour l’illustrer, partons d’un projet que tu as initié, le projet ArchéOdyssée juste avant la crise Covid 19.   Hélène Blitte : ArchéOdyssée, c’est mon projet de Tour du Monde autour de l’Archéologie sociale. Une manière pour moi d’associer 2 domaines qui me tiennent à cœur : l’Archéologie qui est mon métier et la Solidarité Internationale. L’idée de ce projet c’est de montrer que l’Archéologie est moteur de développement. En effet quand on parle d’Archéologie sociale, on parle de projets qui permettent de former par exemple des guides locaux près d’un site archéologique ou de former même des archéologues locaux mais aussi de sensibiliser les enfants dans les écoles à leur patrimoine local, à leur histoire. C’est aussi une mise en valeur de savoir-faire artisanaux qui se perpétuent depuis des centaines d’années. En gros, c’est l’implication de la population locale à proximité d’un site archéologique. Ce tour du monde devait avoir lieu en 2020. Je suis partie au mois de mars en Jordanie qui était la première destination de ce tour du monde. Mais je suis finalement restée bloquée 6 mois. C’était une expérience assez extraordinaire, où j’ai quand même eu l’occasion de rencontrer une première association qui œuvre dans le sens de l’archéologie sociale et qui forme notamment des archéologues locaux mais qui fait également de la sensibilisation dans les écoles.   JC : Quels ont été les bénéfices du programme des voyageurs solidaires pour ton projet ArchéOdyssée ?   Hélène Blitte : Pour ce projet de tour du monde, j’ai effectivement bénéficié du programme des voyageurs solidaires mis en place par International Impact. Ce programme, c’est un peu un win-win pour les voyageurs et pour International Impact. C’est à dire que les voyageurs peuvent visiter nos programmes et nos partenaires et vont nous aider à développer notre impact mais en même temps, ils vont pouvoir réaliser une collecte qui sera défiscalisée. Ils pourront défiscaliser leurs billets d’avion, bénéficier de nos conseils en terme de Solidarité Internationale et avoir une visibilité supplémentaire via nos réseaux sociaux.   JC : Oui et pouvoir bénéficier d’assurances : d’assurance santé, responsabilité civile, rapatriement qui ont été négociée en masse par l’ONG.   Hélène : En ce qui me concerne, le fait d’avoir bénéficié du programme des voyageurs solidaires d’International Impact m’a permis d’avoir plus facilement des contacts avec d’autres associations. Cela me garantit, d’une certaine manière, du sérieux de mon projet et puis cela m’a permis également d’ouvrir un partenariat avec une autre association qui est Patrimoine Sans Frontières.   Astrid : On voit bien les intérêts de passer par International Impact pour être soutenu dans son projet solidaire. J’aurais vraiment aimé pouvoir bénéficier de ce programme pour ma mission.   JC : Oui d’ailleurs si certains auditeurs ont un projet solidaire mûr et qu’ils veulent être accompagnés, qu’ils n’hésitent pas à nous contacter. Voilà, je finis ce 2eme épisode sur cet appel. Donc pour nous contacter, vous écrivez à contact@international-impact.com. Et je te remercie. Merci Astrid   Astrid : Merci JC et très bonne semaine   JC : A la semaine prochaine. Au revoir.   Cette émission vous a plu ? Retrouvez nos aventures sur le site www.odyssebus.com mais aussi sur facebook, sur Instagram, sur Tik Tok, ou sur le Youtube Odyssébus.   Et bien sûr toutes les semaines sur Allo la Planète, les mardis 8 :00, mercredi midi et samedi 18 :00.
Podcast 3 : Le bus Buysse et son histoire
06-11-2021
Podcast 3 : Le bus Buysse et son histoire
Découvrez le podcast co-produit par l’ONG International Impact et la Webradio Allo la planète : Dans cet épisode, vous découvrirez comment nous avons acheté le Bulysse et quelle a été son histoire. Bus culturel qui servait pour Johnny Hallyday, mais aussi d’autres artistes comme Michel Sardou, Jean-Michel Jarre, Vanessa Paradis, Jennifer. Il fut alors transformé en éco-bus pour le compte d’une ONG et a servi pour le Forum Mondial de l’eau.   Choisissez votre plateforme de podcast préférée et Abonnez-vous à la Mission Odyssébus : – sur Apple Podcast : https://podcasts.apple.com/us/podcast/la-mission-odyss%C3%A9bus/id1600010854 – sur Google Podcast : https://podcasts.google.com/feed/aHR0cHM6Ly9mZWVkcy5wb2RjYXN0aWNzLmNvbS9wb2RjYXN0aWNzL3BvZGNhc3RzL3Jzcy80NDg4XzRhZDI1M2IxMTEwYmRlZTViYmM5Nzc1YjVkYTU5NWI1LnJzcw – sur Amazon Music : https://music.amazon.fr/podcasts/55343d02-ecf6-4a20-81c1-4297281d800f/la-mission-odyss%C3%A9bus – sur Deezer : https://www.deezer.com/fr/show/3711337 – Sur Spotify : https://open.spotify.com/show/4MbhiBfSjJqS595rTZEmhN – sur Stitcher : https://www.stitcher.com/podcast/la-mission-odyssebus – sur Tuneln : https://tunein.com/podcasts/Education-Podcasts/Podcasts-Mission-Odyssebus—Odyssebus-p1675730/ Retrouvez ce podcast sur le site d’Allo La Planète, sur le site d’Odyssébus. La Web Radio « Allô la Planète » et L’O.N.G. « International impact » vous présentent la Mission Odyssébus. Mais qu’est-ce que c’est ? De quoi s’agit-il ? C’est quoi donc ? Pardon ? Je n’ai pas compris. Dis, tu nous expliques ? Odyssébus, c’est une mission familiale dans un bus à impériale. Durant 14 mois, découvrez ses 3 volets : Solidaire, Écoresponsable et pédagogique. Retrouvez-nous sur « Allo la Planète », tous les mardis 8 :00, mercredi midi et samedi 18 :00.   Troisième épisode : Le bus Bulysse et son Histoire.   JC : Lorsque nous montions le projet, nous nous sommes mis en quête d’un nom. 6 mois auront été nécessaires pour trouver Odyssébus. Il est clair que l’Iliade et l’Odyssée d’Homer ont marqué nos esprits et que l’aventure d’Ulysse fait partie de la culture internationale. Ici il est intéressant de noter que notre aventure se situe dans la même zone que l’Odyssée, mais cette fois-ci dans les terres. L’Odyssée sur terre, dans un bus, cela donne :  l’Odyssébus. En référence aussi à Odysseus, le nom d’Ulysse en grec ancien. Et comme nous avons l’habitude de trouver un nom à nos véhicules, nous avons cherché un nom pour ce bus. C’est Opale qui est notre fille et qui avait à l’époque 12 ans qui pense que, tout simplement en faisant la contraction entre le Bus et Ulysse, le roi d’Ithaque, nous aurions alors le nom idéal Bulysse. Nous ne savions pas encore que nous aussi, nous vivrions des aventures aussi folles, que nous irions de Charybde en Sylla. Mais je vous propose, pour bien découvrir cet épisode d’écouter l’émission du BIIIIP. Le BIIIIP, c’est le Bureau des Idées Internationales en Innovations et Initiatives Positives. Et ici, notre ami Virgile Perez nous parle du projet. Virgile Perez : «Aujourd’hui on parle de l’initiative positive d’une ONG qui a décidé de faire voyager toute une famille pendant 14 mois à travers 18 pays pour une mission solidaire, éducative et pédagogique. J’vous explique. Vous êtes bien au Bureau des Idées Internationales en Innovations et Initiatives Positives. Veuillez patientez quelques instants. Nous allons répondre à votre message après le BIIIIP. International Impact s’est donné pour mission d’accompagner les donateurs, les volontaires et les organisations solidaires afin d’optimiser leur impact social, économique et environnemental. Régulièrement dans ce cadre, les membres de l’ONG voyagent à travers le monde pour rendre visitent à leurs partenaires. Et récemment le conseil d’administration a décidé d’aller plus loin, en proposant à toute la petite famille de Jean-Christophe, DG de l’ONG, de l’accompagner dans ses visites pour une véritable Odyssée à travers 18 pays pendant 14 mois. Enfin, petite famille façon de parler, ils sont 7. Jean-Christophe, le papa, Astrid, la maman et les 5 enfants. Ceylian, 16ans, Malo 14 ans, Opale, 12ans, Olympe 9 ans et la petite dernière Maya, 7 ans et chacun aura un rôle dans cette aventure aux trois missions ; solidaire, éducative et pédagogique. Tout ce petit monde va visiter 7 partenaires d’International Impact, ONG locales, écoles, centres culturels, … On est en plein dans la dimension solidaire du projet. D’un côté, Jean-Christophe pourra alors ainsi évaluer d’un côté, l’efficacité des actions soutenues, la pertinence et l’impact des volontaires de l’ONG en Service Civique. Et de l’autre, la famille ira à la rencontre de nouvelles organisations et de projets d’intérêt général ainsi l’ONG pourra ouvrir de nouveaux programmes à soutenir, dans de nouveaux pays. Mais comment se déplacer dans 18 pays pendant 14 mois tout en limitant son empreinte carbone ? Et bien, contre toute attente la meilleure solution possible, reste le bus. Maintenant, attention, pas n’importe quel bus. Un bus qui est capable de voyager dans une démarche éco-responsable. Et après des mois de recherche, l’ONG a choisi en concertation avec la famille, un bus à 2 étages et de collection. Pourquoi de collection ? Et bien tout simplement parce-que cet ancien tour bus a fait voyager, le seul, l’unique, l’éternel, Johnny en personne, Excusez du peu. Laissez-moi vous présenter, le 8ème membre de la famille, Bulysse, né de la contraction entre Bus et Ulysse, logique pour une aventure qui ressemble à une Odyssée. Voyons maintenant comment un bus vintage peut être éco-responsable. Tout simplement parce qu’il a subi quelques transformations. Il produit sa propre électricité grâce 30 m² de panneaux solaires sur le toit qui le rendent totalement autonome en énergie. Il récupère l’eau de pluie, des rivières, de la mer ou tout autre source, la traite et la stocke dans deux réservoirs d’eau à usage domestique ou potable. Il n’utilise pas d’eau pour les toilettes mais de l’air pulsé pour sécher les matières. Je vous passe les détails mais c’est bon pour la Terre. Toutes ces installations éco-responsables compenseront en partie la consommation d’essence dans le bilan carbone. A noter tout de même que le 1er plein sera fait avec un carburant fabriqué à base de plastiques recyclés. Une innovation développée par l’ONG Earthwake et qui, selon moi, a de l’avenir. L’expérience de chaque membre de la famille devient un véritable outil d’éducation au développement et à la solidarité Internationale auprès du grand public, deuxième pilier de l’aventure. La famille sera alors confrontée à des questions, sur la mobilité, l’énergie, l’accès à l’eau, le traitement des déchets et tentera de trouver des solutions respectueuses de l’environnement au gré de leurs rencontres. Elle partagera au quotidien ses expériences sur le site de l’aventure et vous pourrez même leurs poser des questions. Dernier pilier de l’Odyssée, la pédagogie puisque le voyage en lui-même servira d’apprentissage pour les enfants autour de cette idée du WorldSchooling à travers des thèmes comme la liberté, l’autonomie, le respect de la planète et les rencontres. Pour résumer et faire simple, une famille nombreuse qui part en voyages solidaire, éducatif et pédagogique pendant 14 mois dans un bus à impérial, appelé Bulysse, cela donne l’Odyssébus ! L’Odyssébus est déjà lancée avec un départ en juillet prochain pour un retour en août 2022. Alors si vous voulez suivre ou soutenir les folles aventures de cette famille hors norme, suivez-les sur les réseaux ou sur le site internet de l’Odyssébus, ils partageront avec vous leur carnet de bords en vidéo et par écrit. Je vous laisse les liens dans la description de la vidéo. A très vite Ciao JC : Voilà, vous pouvez retrouver cette vidéo du Bureau International en Innovations et Idées Positives soit sur Youtube, soit directement sur le site de l’Odyssébus. Le Bus Bulysse a été fabriqué en 1986. C’est en réalité un bus de la marque VanHool. VanHool c’est une société belge qui est assez célèbre dans le secteur des conducteurs de bus pour la qualité de ses bus et même de ses autocars. Ici le modèle que nous avons c’est un Astroméga TD 824. A l’époque, le, moteur utilisé était un Mercedes-Benz, un V8 bi-turbo, l’un des meilleurs moteurs qu’il soit. Le nôtre n’a que 360 000 km, voilà. En fait, à l’origine, il a été fabriqué pour une société de Tourbus, c’est à dire une société qui fait tournée les artistes, qui s’occupe des tournées d’artistes. Là en l’occurrence la société No Limites. Donc différentes personnes ont dormi dedans. On évoque Michel Sardou. Il a fait les tournées aussi de Vanessa Paradis. Il est parti en Russie pour les tournées de Jean-Michel Jarre. Il a servi aussi pour les tournées de Jennifer. Mais surtout il a beaucoup été utilisé pour les tournées de Johnny Halliday. Alors Johnny Halliday a dormi dans le bus les premières années puis par la suite ce sont ses techniciens qui ont vécu dans le bus et qui dormaient à l’intérieur. Et d’ailleurs l’un d’entre eux était ingénieur électricien et aussi co-conducteur du bus. Et après des années de service et alors qu’il changeait de métier, il a racheté le bus et il a désiré donner toute son énergie pour des modes de consommation plus alternatifs, en fait moins branchés finalement au courant classique et au système de consommation d’eau. C’est ainsi qu’il a mis 30 m2 de panneaux solaires sur le toit, comme on l’a entendu tout à l’heure dans la vidéo et aussi une tonne de batteries au gel et un système ingénieux de récupération de l’eau de pluie, de traitement pas filtres, par adoucisseurs et par osmose inverse. Le Bus était tellement novateur dans les années 2000 qu’il a servi pour le Forum Mondial Alternatif de l’Eau et pour le Tour de France de l’Eau. Lorsque nous l’avons racheté Bulysse avait sommeillé pendant quelques années. Il a fallu le remettre en route pour pouvoir avaler les 22 000 km du projet, qui est en cours. Tout cela on vous le racontera dans les prochaines émissions. On vous expliquera un peu plus en détail le système de gestion de l’eau et le système de gestion électrique. Voilà au niveau solaire.   Et bien on vous souhaite une bonne semaine et on vous dit : « A la semaine prochaine. »   Cette émission vous a plu ? Retrouvez nos aventures sur le site www.odyssebus.com mais aussi sur facebook, sur Instagram, sur Tik Tok, ou sur le Youtube Odyssébus. Et bien sûr toutes les semaines sur Allo la Planète, les mardis 8 :00, mercredi midi et samedi 18 :00.
Podcast 6 : Rouler avec du gasoil issu de déchets plastiques
19-11-2021
Podcast 6 : Rouler avec du gasoil issu de déchets plastiques
Découvrez le podcast co-produit par l’ONG International Impact et la Webradio Allo la planète : Cette série traite des consommations (eau, électricité, gasoil, internet) en voyage et explique comment les gérer quand on est mobiles et déconnectés. Dans le troisième volet de cette série, nous expliquons une partie éco-responsable du projet par l’utilisation de plastiques issus de déchets plastiques. Retrouvez ce podcast sur le site d’Allo La Planète, sur le site d’Odyssébus. Choisissez votre plateforme de podcast préférée et Abonnez-vous à la Mission Odyssébus : – sur Apple Podcast : https://podcasts.apple.com/us/podcast/la-mission-odyss%C3%A9bus/id1600010854 – sur Google Podcast : https://podcasts.google.com/feed/aHR0cHM6Ly9mZWVkcy5wb2RjYXN0aWNzLmNvbS9wb2RjYXN0aWNzL3BvZGNhc3RzL3Jzcy80NDg4XzRhZDI1M2IxMTEwYmRlZTViYmM5Nzc1YjVkYTU5NWI1LnJzcw – sur Amazon Music : https://music.amazon.fr/podcasts/55343d02-ecf6-4a20-81c1-4297281d800f/la-mission-odyss%C3%A9bus – sur Deezer : https://www.deezer.com/fr/show/3711337 – Sur Spotify : https://open.spotify.com/show/4MbhiBfSjJqS595rTZEmhN – sur Stitcher : https://www.stitcher.com/podcast/la-mission-odyssebus – sur Tuneln : https://tunein.com/podcasts/Education-Podcasts/Podcasts-Mission-Odyssebus—Odyssebus-p1675730/   La Web Radio « Allô la Planète » et L’O.N.G. « International impact » vous présentent la Mission Odyssébus. Mais qu’est-ce que c’est ? De quoi s’agit-il ? C’est quoi donc ? Pardon ? Je n’ai pas compris. Dis, tu nous expliques ? Odyssébus, c’est une mission familiale dans un bus à impériale. Durant 14 mois, découvrez ses 3 volets : Solidaire, Éco-responsable et pédagogique. Retrouvez-nous sur « Allo la Planète », tous les mardis 8 :00, mercredi midi et samedi 18 :00.   Sixième épisode : Rouler avec du gasoil issu de déchets plastiques.   JC : Dans cet épisode qui fait partie d'une série sur les consommations eau électricité, gasoil, Internet :  comment gérer quand on est en mobilité ? Quand on est déconnecté ? Nous abordons l'énergie qui fait déplacer le bus. Bonjour Astrid. Astrid : Salut JC ! Bonjour à tous. Je pense que nous sommes comme beaucoup de personnes. Nous nous posons des questions sur nos modes de consommation. Est ce qu'ils sont adaptés par rapport à nos besoins ? Est ce qu'ils sont surtout respectueux de l'environnement ? JC : On a tellement de choses à apprendre. Quand on a cherché le véhicule, la dimension éco responsable était importante. Centrale même. D'après le gouvernement français, 27 % de nos empreintes carbone représentent le transport. Astrid : C'est le même pourcentage que pour le logement, 27 % aussi, beaucoup plus que l'alimentation, la santé, l'éducation ou l'habillement. JC : D'après l'excellent article sur le sujet du site www.tourdumondiste.com , il est indiqué : «  le bus est le deuxième moyen de transport le plus utilisé par les tourdumondistes après l'avion. Même si un bus longue distance consomme du diesel pour rouler, il génère en moyenne six fois moins de CO2 par passager qu'un vol court courrier et cinq fois moins qu'une voiture avec un seul passager à bord. Astrid : Et ici, notre bus a sept passagers et pas un autocar de 40 ou 50 places. JC : C'est vrai, il faut prendre en compte. Aussi le fait qu'on économise la consommation d'un logement de sept personnes. Donc on évoque deux fois 27 % d'empreinte carbone, soit 54 % qu'on essaye de minimiser. Astrid : L'idéal reste évidemment la marche à pied tel qu'on le faisait tous les étés pendant ces six dernières années. JC : On essaye d'avoir une empreinte éco responsable. On ne se revendique pas écologistes ou écologiques, mais éco-responsables. Il y a des bus prometteurs. Astrid : Les premiers cars 100 % électriques sortent aux Etats-Unis. JC : Malheureusement, leur autonomie reste faible. Astrid : Et les premiers cars à hydrogène existent aussi. JC : Oui, mais ils n'ont pas encore de réalité économique. 600 000 €, c'est le prix du car et l'hydrogène accessible du coup, coûte deux fois plus cher par rapport au gazole. Astrid : Et par contre, les cars neufs consomment moins. JC : Oui, mais ils sont chers et leur fabrication a un impact carbone certain. Astrid : Alors nous avons opté pour un bus d'occasion qui roule au gazole. JC : L'ONG International Impact soutient un projet génial monté par l'acteur Samuel Le Bihan. Choqué par les millions de tonnes de plastique qui se retrouvent dans les océans, il a fondé l'ONG Earthwake, c'est à dire Le Réveil de la Terre en anglais. Astrid : Oui, c'est une super ONG dirigée par François Danel, l'ancien directeur général d'Action contre la faim. Ton ami. JC : L'action est simple le plastique vient du pétrole. Comment refaire du pétrole avec du plastique avant que ce dernier ne vienne dans les océans ? Astrid : Et ils ont trouvé par le moyen de la pyrolyse. Ils produisent ainsi gasoil, essence et gaz à partir de déchets plastiques. JC : En ayant ce type de système, c'est vertueux. Les déchets plastiques dans les pays en développement sont nombreux. En les transformant en énergie pas chère, on provoque l'envie de les récupérer, de les transformer. Astrid : La solution a déjà gagné de nombreux prix d'innovation et fait partie des 1000 solutions prometteuses choisies par le projet Solar Impulse. JC : Oui, l'avion solaire qui a réussi à faire le tour de la terre avec juste l'énergie du soleil. Astrid : Et pour que le bus puisse rouler au gasoil issu de déchets plastiques, il a été reconnu par le ministère de la transition écologique. JC : Et donc c'est le premier bus en France à avoir cette reconnaissance. Astrid : Et l'autorisation de rouler en France avec ce gazole. JC : Pour le moment, pas d'harmonisation européenne. Chaque pays décide avec quel gasoil on peut rouler. Astrid : On peut se dire que l'idéal serait qu'il n'y ait pas de production de plastique ou qu'elle soit très limitée pour éviter qu'elle ne se retrouve dans les océans. JC : Avec cette solution innovante, on aide à collecter et recycler le plastique. C'est déjà un peu. C'est la logique du colibri qui essaye d'éteindre l'incendie de forêt et qui fait sa part. Astrid : Pour le reste, gaz ou à l'issue de déchets plastiques ou pas, il reste forcément une part d'empreinte carbone. JC : On a décidé de s'associer à la Fondation GoodPlanet pour compenser les émissions de carbone. Vous connaissez certainement la Fondation GoodPlanet. Elle a été créée par Yann Arthus-Bertrand qui, à la suite de ses voyages, s'est rendu compte qu'il fallait faire des actions concrètement pour réduire l'empreinte carbone. Parmi ces actions, il y a le financement de projets dans des pays en développement. Projets de plantation d'arbres, de soutien à l'agriculture vivrière, à l'agriculture familiale. Soutien à des projets écologiques, éco-responsables de plantation. Astrid : D'après nos calculs, nous ne ferons que 22 000 kilomètres, ce qui n'est pas tant que cela. En un an. JC : Avec la consommation du bus, il y en aura. Pour à peu près 500 à 600 euros. La conso ou la compensation. Si on est amené à prendre l'avion à un certain moment, nous utiliserons alors aussi la compensation carbone. Astrid : Donc rouler aux déchets plastiques, compenser nos émissions de gaz à effet de serre, voilà l'attitude que nous avons choisi. Nous avons aussi embarqué sept vélos à bord. Nous limiterons les trajets du bus aux grands axes, mais nous privilégierons les vélos pour nous déplacer dans les villes, sur les sites touristiques ou pour aller faire les courses. Les vélos qu'on a choisis ne sont pas neufs, nous les avons récupérés. On en a même trouvé deux dans la rue. Nous les avons retapés pour leur donner une deuxième vie. JC : On les a d'ailleurs retapés par un atelier d'insertion professionnelle. Le fait de ne pas avoir d'habitat fixe, de ne pas nécessiter de gaz ni d'électricité nucléaire, tout cela participe à nos actions éco-responsables. Astrid : Et on est ouvert à toute suggestion, questions, interrogations sur ces sujets, car comme beaucoup de monde, on essaye de réduire notre impact. JC : C'est déjà la fin de cet épisode. Un grand merci à l'ONG Earthwake et à la Fondation GoodPlanet. Et à International Impact, bien sûr, à l'initiative de ce projet. Merci aux internautes, aux auditeurs qui nous suivent. On vous souhaite une très bonne semaine. Cette émission vous a plu ? Retrouvez nos aventures sur le site www.odyssebus.com mais aussi sur facebook, sur Instagram, sur Tik Tok, ou sur le Youtube Odyssébus. Et bien sûr toutes les semaines sur Allo la Planète, les mardis 8 :00, mercredi midi et samedi 18 :00. https://www.odyssebus.com/wp-content/uploads/2022/05/6eme-épisode-Rouler-avec-du-gasoil-issu-de-déchets-plastiques-24052022-23.27.mp3
Podcast 8 : L'école en voyage
28-07-2022
Podcast 8 : L'école en voyage
Découvrez le podcast co-produit par l’ONG International Impact : Cet épisode fait partie d'une série sur la pédagogie. L'école en voyage, Education à la citoyenneté et à la solidarité internationale, pédagogie positive et inclusive, gestion des enfants atypiques, word-schooling et un-schooling : nous découvrons les alternatives au système éducatif classique. Dans ce 8ème podcast, nous évoquons l'école en voyage. Pourquoi avoir fait ce choix ? Combien de jeunes bénéficient de l'Instruction en Famille ? Comment cela s'organise-t-il ? Que choisir ? Cours à distance ou programmes adaptés ? Qu'en pensent nos enfants ? Choisissez votre plateforme de podcast préférée et Abonnez-vous à la Mission Odyssébus : – sur Apple Podcast : https://podcasts.apple.com/us/podcast/la-mission-odyss%C3%A9bus/id1600010854 – sur Google Podcast : https://podcasts.google.com/feed/aHR0cHM6Ly9mZWVkcy5wb2RjYXN0aWNzLmNvbS9wb2RjYXN0aWNzL3BvZGNhc3RzL3Jzcy80NDg4XzRhZDI1M2IxMTEwYmRlZTViYmM5Nzc1YjVkYTU5NWI1LnJzcw – sur Amazon Music : https://music.amazon.fr/podcasts/55343d02-ecf6-4a20-81c1-4297281d800f/la-mission-odyss%C3%A9bus – sur Deezer : https://www.deezer.com/fr/show/3711337 – Sur Spotify : https://open.spotify.com/show/4MbhiBfSjJqS595rTZEmhN – sur Stitcher : https://www.stitcher.com/podcast/la-mission-odyssebus – sur Tuneln : https://tunein.com/podcasts/Education-Podcasts/Podcasts-Mission-Odyssebus—Odyssebus-p1675730/ Retrouvez ce podcast sur le site d’Odyssébus.
Podcast 9 : Education au Développement et à la Solidarité Internationale (EADSI)
09-08-2022
Podcast 9 : Education au Développement et à la Solidarité Internationale (EADSI)
Découvrez le podcast produit par l’ONG International Impact : Cet épisode fait partie d'une série sur la pédagogie. L'école en voyage, Education à la citoyenneté et à la solidarité internationale, pédagogie positive et inclusive, gestion des enfants atypiques, word-schooling et un-schooling : nous découvrons les alternatives au système éducatif classique. Dans ce 9ème podcast, nous évoquons l’Education au Développement et à la Solidarité Internationale. Appelée aussi EADSI. Comment la Mission Odyssébus participe à une conscience au développement et à la Solidarité Internationale ? Les familles sont elles plus touchées ? Comment les enfants se questionnent sur ces sujets ? Découvrez la participation d’école et leurs sensibilisation. Quels choix de réseaux sociaux et pour toucher qui ? Choisissez votre plateforme de podcast préférée et Abonnez-vous à la Mission Odyssébus : – sur Apple Podcast : https://podcasts.apple.com/us/podcast/la-mission-odyss%C3%A9bus/id1600010854 – sur Google Podcast : https://podcasts.google.com/feed/aHR0cHM6Ly9mZWVkcy5wb2RjYXN0aWNzLmNvbS9wb2RjYXN0aWNzL3BvZGNhc3RzL3Jzcy80NDg4XzRhZDI1M2IxMTEwYmRlZTViYmM5Nzc1YjVkYTU5NWI1LnJzcw – sur Amazon Music : https://music.amazon.fr/podcasts/55343d02-ecf6-4a20-81c1-4297281d800f/la-mission-odyss%C3%A9bus – sur Deezer : https://www.deezer.com/fr/show/3711337 – Sur Spotify : https://open.spotify.com/show/4MbhiBfSjJqS595rTZEmhN – sur Stitcher : https://www.stitcher.com/podcast/la-mission-odyssebus – sur Tuneln : https://tunein.com/podcasts/Education-Podcasts/Podcasts-Mission-Odyssebus—Odyssebus-p1675730/ Retrouvez ce podcast sur le site d’Odyssébus.
Podcast 10 : Ecole Positive et Inclusive HubSchool 21
10-08-2022
Podcast 10 : Ecole Positive et Inclusive HubSchool 21
Découvrez le podcast produit par l’ONG International Impact : Cet épisode fait partie d'une série sur la pédagogie. L'école en voyage, Education à la citoyenneté et à la solidarité internationale, pédagogie positive et inclusive, gestion des enfants atypiques, word-schooling et un-schooling : nous découvrons les alternatives au système éducatif classique. Dans ce 10ème podcast, nous évoquons l’Ecole Positive et Inclusive. Nous découvrons Hub School 21, école fondée par Fanny Peissik Riblier. Comment imaginer l’école de demain ? Doit-elle être ouverte ? tournée vers la culture ? vers l’entreprenariat ? vers l’international ? Doit-être être en présentiel ou à distance ? Quelles valeurs doit-elle transmettre ? Quelle conscience environnementale ? Et si elle existait dès à présent ?… Toutes les réponses dans ce podcast qui va vous donner ou redonner envie d’école. Tout simplement. Choisissez votre plateforme de podcast préférée et Abonnez-vous à la Mission Odyssébus : – sur Apple Podcast : https://podcasts.apple.com/us/podcast/la-mission-odyss%C3%A9bus/id1600010854 – sur Google Podcast : https://podcasts.google.com/feed/aHR0cHM6Ly9mZWVkcy5wb2RjYXN0aWNzLmNvbS9wb2RjYXN0aWNzL3BvZGNhc3RzL3Jzcy80NDg4XzRhZDI1M2IxMTEwYmRlZTViYmM5Nzc1YjVkYTU5NWI1LnJzcw – sur Amazon Music : https://music.amazon.fr/podcasts/55343d02-ecf6-4a20-81c1-4297281d800f/la-mission-odyss%C3%A9bus – sur Deezer : https://www.deezer.com/fr/show/3711337 – Sur Spotify : https://open.spotify.com/show/4MbhiBfSjJqS595rTZEmhN – sur Stitcher : https://www.stitcher.com/podcast/la-mission-odyssebus – sur Tuneln : https://tunein.com/podcasts/Education-Podcasts/Podcasts-Mission-Odyssebus—Odyssebus-p1675730/ Retrouvez ce podcast sur le site d’Odyssébus.
Podcast 11 : Unschooling
11-08-2022
Podcast 11 : Unschooling
Découvrez le podcast produit par l’ONG International Impact : Cet épisode fait partie d'une série sur la pédagogie. L'école en voyage, Education à la citoyenneté et à la solidarité internationale, pédagogie positive et inclusive, gestion des enfants atypiques, word-schooling et un-schooling : nous découvrons les alternatives au système éducatif classique. Dans ce 11ème podcast, nous évoquons l’unschooling. Découvrir la non scolarisation. Ne pas scolariser ses enfants ne signifie pas de ne pas les éduquer. Afin de mieux découvrir ce processus et ce choix, nous avons interviewé une famille qui a fait le choix de laisser à leurs enfants le temps de la découverte et de l’envie d’apprendre. Choisissez votre plateforme de podcast préférée et Abonnez-vous à la Mission Odyssébus : – sur Apple Podcast : https://podcasts.apple.com/us/podcast/la-mission-odyss%C3%A9bus/id1600010854 – sur Google Podcast : https://podcasts.google.com/feed/aHR0cHM6Ly9mZWVkcy5wb2RjYXN0aWNzLmNvbS9wb2RjYXN0aWNzL3BvZGNhc3RzL3Jzcy80NDg4XzRhZDI1M2IxMTEwYmRlZTViYmM5Nzc1YjVkYTU5NWI1LnJzcw – sur Amazon Music : https://music.amazon.fr/podcasts/55343d02-ecf6-4a20-81c1-4297281d800f/la-mission-odyss%C3%A9bus – sur Deezer : https://www.deezer.com/fr/show/3711337 – Sur Spotify : https://open.spotify.com/show/4MbhiBfSjJqS595rTZEmhN – sur Stitcher : https://www.stitcher.com/podcast/la-mission-odyssebus – sur Tuneln : https://tunein.com/podcasts/Education-Podcasts/Podcasts-Mission-Odyssebus—Odyssebus-p1675730/ Retrouvez ce podcast sur le site d’Odyssébus.
Podcast 19 : Roumanie
19-08-2022
Podcast 19 : Roumanie
Découvrez le podcast produit par l’ONG International Impact : Cet épisode fait partie d’une série sur le voyage en lui même. Pays après pays, découvrez le périple de 14 mois Dans ce 19ème podcast, nous évoquons la Roumanie. Très belle découverte ce pays. Des habitants très accueillants. Avez-vous déjà été invités par une famille roumaine ? Quelle différence avec les Roms ? Avez-vous déjà découvert ces roches circulaires qui grossissent toute seules ? Le risque de tomber dans un volcan de boue est-il mortel ? Faire des maraudes dans les quartiers pauvres de la capitale est-ce faisable avec des enfants ? Quelle spécificités ont les enfants des rues ? Comment le dictateur Nicolas Caucescu a-t-il appauvri le pays ? Quel monument administratif est le plus grand du Monde ? Choisissez votre plateforme de podcast préférée et Abonnez-vous à la Mission Odyssébus : – sur Apple Podcast : https://podcasts.apple.com/us/podcast/la-mission-odyss%C3%A9bus/id1600010854 – sur Google Podcast : https://podcasts.google.com/feed/aHR0cHM6Ly9mZWVkcy5wb2RjYXN0aWNzLmNvbS9wb2RjYXN0aWNzL3BvZGNhc3RzL3Jzcy80NDg4XzRhZDI1M2IxMTEwYmRlZTViYmM5Nzc1YjVkYTU5NWI1LnJzcw – sur Amazon Music : https://music.amazon.fr/podcasts/55343d02-ecf6-4a20-81c1-4297281d800f/la-mission-odyss%C3%A9bus – sur Deezer : https://www.deezer.com/fr/show/3711337 – Sur Spotify : https://open.spotify.com/show/4MbhiBfSjJqS595rTZEmhN – sur Stitcher : https://www.stitcher.com/podcast/la-mission-odyssebus – sur Tuneln : https://tunein.com/podcasts/Education-Podcasts/Podcasts-Mission-Odyssebus—Odyssebus-p1675730/ Retrouvez ce podcast sur le site d’Odyssébus.
Podcast 20 : Turquie
20-08-2022
Podcast 20 : Turquie
Découvrez le podcast produit par l’ONG International Impact : Cet épisode fait partie d’une série sur le voyage en lui même. Pays après pays, découvrez le périple de 14 mois. Dans ce 20ème podcast, nous évoquons la Turquie. Est-ce intéressant de se faire installer un chauffage dans un grand bus ? Qu’est ce qu’un Sanayii ? Les turcs sont-ils de bons bricoleurs ? de bons mécaniciens ? Est-il possible de casser un moteur de bus ? Les tortues de mer viennent-elles encore pondre sur les plages ? Comment sont les sites archéologiques en Turquie ? Est-ce que la Turquie est un pays dangereux ? Pourquoi les voyageurs restent-ils aussi longtemps dans ce pays ? Connaissez-vous Franck et Muriel ? Les Lovicars Tribu ? Autour d’un Monde ? Choisissez votre plateforme de podcast préférée et Abonnez-vous à la Mission Odyssébus : – sur Apple Podcast : https://podcasts.apple.com/us/podcast/la-mission-odyss%C3%A9bus/id1600010854 – sur Google Podcast : https://podcasts.google.com/feed/aHR0cHM6Ly9mZWVkcy5wb2RjYXN0aWNzLmNvbS9wb2RjYXN0aWNzL3BvZGNhc3RzL3Jzcy80NDg4XzRhZDI1M2IxMTEwYmRlZTViYmM5Nzc1YjVkYTU5NWI1LnJzcw – sur Amazon Music : https://music.amazon.fr/podcasts/55343d02-ecf6-4a20-81c1-4297281d800f/la-mission-odyss%C3%A9bus – sur Deezer : https://www.deezer.com/fr/show/3711337 – Sur Spotify : https://open.spotify.com/show/4MbhiBfSjJqS595rTZEmhN – sur Stitcher : https://www.stitcher.com/podcast/la-mission-odyssebus – sur Tuneln : https://tunein.com/podcasts/Education-Podcasts/Podcasts-Mission-Odyssebus—Odyssebus-p1675730/ Retrouvez ce podcast sur le site d’Odyssébus.