Il y a quelques temps, notre journaliste Lucas Scaltritti, a ouvert un livret développement durable et solidaire. Sur le site internet de sa banque, il y a une photo sur laquelle une plante verte pousse depuis des pièces de monnaie pour illustrer ce produit d’épargne. C’est à ce moment qu’il s’est demandé si ce livret portait bien son nom.
Pour cet épisode, il a rencontré Clémence Lacharme, manager au cabinet de conseil Carbone 4, spécialiste du secteur bancaire et de l’épargne des particuliers. Elle fait le parallèle entre l’argent que chacun dépense pour faire ses courses, payer son habitation, ses loisirs, etc et son l’argent que l’on place à la banque. Il ne faut pas croire qu’il dort paisiblement au fond d’un coffre, non, il “travaille” et peut parfois financer des projets extrêmement polluants.
Bonne écoute !