Gisèle Pelicot a dénoncé ce mardi 19 novembre , lors de sa dernière intervention au procès des viols de Mazan, une société “machiste et patriarcale” banalisant le viol. Elle a qualifié ce procès de “procès de la lâcheté” et condamné le déni des 51 accusés, dont son ex-mari Dominique Pelicot, qui l’a droguée et livrée à des inconnus pendant une décennie. Refusant l’idée d’avoir été manipulée, elle a exprimé sa douleur face à des actes qui lui ont “volé dix ans de sa vie”.
Invitée du Titre à la une : Marion Dubreuil, journaliste judiciaire à RMC