Olivier GOY, c’est du super lourd. C’est ce que je me suis dit au bout de 10 minutes d’échange avec lui derrière nos micros.
Pour la faire courte : le mec a inventé le financement participatif d’entreprises en 2001 en France avec 123 investment managers (ex 123Venture). Tout simplement.
Aujourd’hui, il dirige October (anciennement Lendix), qui propose aux particuliers de prêter de l’argent aux entreprises, avec des taux d’intérêts défiant toute concurrence.
D’ailleurs, pour vous, fidèles auditeurs de #GDIY, October vous offre votre premier prêt de 20€ qui seront directement versés sur votre compte pour 200€ abondés (par CB ou virement).
Pour ce faire, il suffit de :
1# Vous rendre sur ce lien : https://app.october.eu/signup
2# Renseigner le code “ cosavostra “ dans l’encadré PARRAIN du formulaire d’inscription
*Pour information 20€ constitue le minimum de prêt sur October.
Olivier pèse lourd, non seulement avec les 1,3 milliards d’euros sous gestion sur 123IM, mais surtout par son expérience dans le financement de startups (x80 sur le million investi dans Critéo…). C’est cette expérience qu’il nous partage dans cet épisode de Génération Do It Yourself.
Quand tu es entrepreneur depuis l’âge de 26 ans et que tu t’es frotté au monde de la finance, des banques et des fonds d’investissements aussi prématurément, tu te prends certes des claques, mais si tu arrives à les surmonter, tu deviens invincible.
“Je considère que c’est une chance de ne pas avoir fait de grande école, ça m’a permis de sortir des sentiers battus.”
Avec Olivier, on parle d’argent, d’investissement, de levées de fonds, de différentes formes de “crowd funding”, les prêts, le don, le capital. On parle aussi de faillite, de crise ou encore de fraude...
“Ce n’est pas la terre entière qui est malhonnête, mais c’est 1% de la terre entière qui l’est de façon répétitive… Il ne faut pas les laisser en totale impunité.”
Olivier me raconte comment il tombe amoureux du capital risque et de la tech après un premier stage à Paris MGT (clin d’oeil à David Salabi). Comment il se fait gentiment chasser de Partech au bout de 9 mois, avec pour prime de départ un bureau et un stagiaire (pour continuer à bosser à mi-temps). Et en quoi c’est différent d’entreprendre à 26 ans ou à 40 ans.
Quand tu montes une startup à 26 ans, tu es courageux, mais ta naïveté peut te coûter cher :
2 leçons de cette période : ne pas être le premier à faillir - sinon on est pointé du doigt. Et ne pas faillir plus que la moyenne.
Aujourd’hui, 123 investment managers a 17 ans, compte une équipe de 60 personnes, génère plus de 45 Millions d’Euros de CA et a plus de 70 000 clients. Son tout premier stagiaire Xavier Anthonioz en est devenu le président du directoire.
Quand tu montes une startup à 40 ans, tu es plus prudent même si tu as un carnet d’adresse bien fourni :
Aujourd’hui, October prête de l’argent aux banques et collabore même avec certaines d’entre elles grâce à son service conçu pour être complémentaire aux prêts bancaires. Sa difficulté n’est plus de trouver des prêteurs mais de trouver à qui prêter.
“Une entreprise ne peut fonctionner qu’en recrutant des gens qui sont meilleurs qu’elle : plus intelligents et plus compétents dans leurs domaines respectifs.”
Pour finir, Olivier me partage ses conseils, applicable à 26 ou 40 ans :
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